J'étais encore jeune et je frôlais mes 25 ans quand j'ai été détruit par une dame d'une cinquantaine d'année au mois de décembre 2012 alors que j'avais déjà fixé ma date de mariage pour février 2013.
Ce jour, je devais me rendre à la place de l'indépendance rejoindre mes amis pour la fête de fin d'année. Je descendis de la voiture avec une folie de joie quand je me disais que j'allais rencontré mes potes pour terminer cette année en beauté sous les feux d'artifice de Dakar. Tout d'un coup, une femme d'une cinquantaine d'année m'interpella en me demanda de venir l'aider à faire descendre un bagage qui était un peu lourd pour elle. Je ne pouvais refuser car elle avait bien l'âge de ma mére ou même plus. D'ailleurs, je me disais que ça serait ingrat et injuste de ma part.
Avec le sourire aux lévres, elle me dit, merci pour cette gentillesse hors pair. Je me précipita alors à l'accompagner au 3éme étage de l'immeuble où elle résidait seule pour l'aider.
C'est en ce moment même, que mes jours de bonheur étaient comptés dans ce monde si beau et cruel à la fois.
A mon arrivée, au sein de l'appartement, à l'absence de tout regard du voisinage, elle ferma la porte à clé et me demanda de venir dans le salon toujours avec son sourire qui me rassurait et son âge qui effaçait tout doute qui me traversait l'esprit de temps à autre.
Docile et respectueux envers les personnes âgées était un des critéres que certaines personnes appréciaient chez moi.
Je la suivis au salon avec beaucoup de courtoisie mais impatiente de l'aider afin d'aller rejoindre mes amis qui m'attendaient incessamment.
Elle s'assit prés de moi, sa main posée sur mon épaule, sourire aux lévres, elle me demanda sans scrupule si j'étais intéréssé par sa personne. Je lui répondis avec beaucoup de politesse: "maman j'ai des amis qui m'attendent; est ce que je peux vous aider afin de repartir?"
Elle réduit la distance entre nous en s'approchant de plus prêt, saisit mon menton de façon à le caresser avec sa main en me disant qu'elle était prête à m'offrir beaucoup d'argent si je couchais avec elle.
Surpris et désespéré par ses propos, je me suis levé et je lui demandai gentillement de venir m'ouvrir la porte et me laisser partir. J'étais dans un état colérique quand elle a voulu insister. Et c'est là que tout commença à s'effondrer autour de moi quand elle proliféra des menaces en me disant qu'elle allait m'accuser de vol et tentative d'assassinat dans son domicile face à tout refus d'obtempérer. Je me suis mis à trembler d'inquiétude et de peur mais j'ai pas voulu tomber sur son piége et céder face à ses désirs. J'avais beaucoup de raison de ne pas entretenir des relations sexuelles avec une dame d'une cinquantaine et qui j'ignorais royalement sa vie dans le passé. Est-ce qu'elle n'a pas une maladie qu'elle pouvait me transmettre sexuellement? Je me disais tout simplement que ca serait impardonnable de ma part de commetre une telle connerie. J'avais commencé à négocier avec elle au point même de lui dire que j'étais impuissant et maladif. Mais hélàs, ses désirs ne pouvaient être assouvris par aucune explication valable ou raisonnable. J'avais craqué et toute ma vie avait basculé en des fractions de seconde quand elle a su que j'étais catégorique et que les voisins entendaient mes cris de désolation et de riposte agressive. C'est en ce moment qu'elle décida de foutre toute ma vie en l'air en me taxant de voleur, de violeur et d'assassin devant la curiosité des voisins qui n'ont pas hésité à s'attaquer à moi. Nul besoin de m'expliquer, un premier coup de poing venu du gardien de l'immeuble ne m'a laissé aucune chance de m'exprimer. J'entendais ses voisins, chacun à tour de rôle me taxer de bandit et que c'est à l'occasion des fêtes qu'on profitaient pour faire nos sales trucs. Ma parole ne comptait plus face à la victimisation de cette dame qui venait de détruire ma vie pour assouvrir ses désirs diaboliques tout en essayant de garder une bonne réputation devant ses voisins.
Le corps couvert de sang, le visage enflé, je fus conduit au commissariat de police avant d'être déféré en prison suite à mes 72h de détention (garde à vue).
Le jour du procés était la pire journée de ma vie quand j'apperçevais ma mére presque abattue, rongée par le stress et la douleur;
Mes fréres, soeurs, amis et voisins avec les larmes au yeux et des visages de désolation et de tristesse qui n'inspiraient pas confiance. Je ne pouvais résister face à un tel scénario jusqu'au moment où je voyais ma mére à même le sol en train de crier pour alléger cette souffrance qui l'a rongé de l'intérieur et que les gardes la faisaient sortir de la salle d'audience.
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Souffrance Eternelle
AdventureUn jeune homme agé de 25 ans accusé à tort de vol, de viol et tentative d'assassinat écope de 15 ans de prison ferme. Il a été accusé par une femme d'une cinquantaine qui a voulu le forcé à coucher avec elle. Face au refus du jeune homme, la dame...