Nouveau départ (Seth)

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Beaucoup de ceux qui attendaient devant le labo avaient fini par abandonner rentraient petit à petit chez eux pour ou constater les dégâts ou s'occuper d'autres choses. 3 heures après, j'étais toujours là, à attendre, seul, posé contre le mur devenu frêle du bâtiment. Puis le labo s'ouvrit. Je me relevai et je rentrais calmement, vers la prof, l'interrogeant : « Prof, expliquez-moi ce qu'il s'est passé ?

_ C'est dur à dire mais... Il est arrivé quelque chose à Kalos que l'on pensait impossible à reproduire...

_ C'est à dire ?

_ Il y a plus de 3000 ans, une arme a été utilisée pour mettre fin à une grande guerre. Et d'après ce qu'on a pu voir... Elle a été réactivée... Kalos... et tout ce qui l'a compose n'est plus...

_ Et pour ce qui est de Unys ?

_ Toutes les villes portuaires ont été rasées... Unys à perdu près du 3/4 des habitants selon les premières estimations des champions d'arènes... C'est... c'est le plus gros drame depuis 3000 ans... Heureusement que Kalos est entouré de montagnes à l'Est et au Sud, ce qui a limité les dégâts dans ces zones. Mais Unys étant séparé de Kalos que par la mer... On a pas pu être protégé... Qui a bien pu faire une chose pareil ? J'attends l'arrivée de Carolina, il faut absolument qu'on vienne en aide aux survivants !

_ Je... Je veux vous aider !

_ Malheureusement, elle n'a de la place que pour moi. Tu veux nous aider ? Rejoins-nous à Parsemille, on y sera. Mais fais attention à toi, dans ce genre de situation, les gens n'ont plus aucun scrupule. Bonne chance. »

Après toutes ces nouvelles plus que tragiques, cataclysmiques, je rentrai chez moi, mis un sweat à capuche sur un T-shirt noir pour être le plus discret possible ainsi qu'un jogging noir. Je fouillai la maison de fond en comble en prenant le plus important, un sac léger et noir pour prendre un maximum de vivre, une trousse de secours complète pour humain et pokemon et le plus de provisions possible. Je partis enfin dans ma cave pour prendre une petite boite où contenait 2 pokeballs, et pour finir, j'ouvris une grosse mallette rectangulaire où était stocké une légère épée que mon grand-père m'avait forgé plus jeune. On ne sait jamais ce qui peut se passer. Et voilà, j'étais fin prêt pour repartir de nouveau à l'aventure.

De l'idéal à la réalité // pokemonOù les histoires vivent. Découvrez maintenant