OS Larry 18+

« Fuck me, Harry » (18+)

En rentrant du travail, je retrouve mon petit-ami dans la cuisine, simplement vêtu d'un de mes longs chandails, qui lui arrive presque aux genoux, et de son tablier. J'ai fini plus tôt aujourd'hui et voir Louis tout mignon comme ça me remplis encore plus de joie. Je n'ai jamais le plaisir de le voir cuisiner, le repas étant toujours prêt lors de mon arrivée.

Je remarque qu'il ne m'a toujours pas vu, ni entendu, alors je laisse mes chaussures à l'entrée et je m'approche de lui pour entourer mes bras autour de lui, le faisant pousser un cri de peur.

-Merde, Haz' ! J'ai eu si peur !

-Désolé, bébé, ce n'était pas mon intention.

-Que fais-tu ici aussi tôt ?

-Liam m'a laissé partir une heure plus tôt, je n'allais pas laisser cette chance de te voir cuisiner pratiquement nu...

En prononçant ces mots, je laisse mes mains passer en dessus du tissu, frôlant sa peau. Je ne suis pas surpris lorsque je ne sens pas le caleçon qui aurait dû y avoir.

-Pas de sous-vêtements, bébé ? Est-ce une invitation ?

-Est-ce que tu veux que ça le soit ?

-C'est sûr que si tu me demandes de te baiser, ici et maintenant, qui serais-je de refuser ?

-Alors, baise-moi, Harry.

Sa voix a prononcé mon nom d'une façon tellement sexy et sensuelle à la fois que je me suis senti serré dans mon pantalon assez rapidement. Louis a toujours été un homme charmant, et il le sait si bien qu'il utilise ces charmes sur tout le monde. Je n'ai jamais été capable d'y résister. S'il me demandait, d'une voix sensuelle comme cela, je ne pouvais que plier à sa demande et la réaliser. Il est manipulateur sur les bords, mais d'une « bonne » façon. Jamais il ne manipulerait quelqu'un dans le but de faire du mal ou de se protéger.

Pour réponse à sa demande, mes mains s'attardent plus à son bas ventre. Mes mains empoigne fermement sa verge puis je commence des vas-et-viens lents pour l'exciter. Ça ne pris pas longtemps pour qu'elle soit parfaitement dure et que Louis soit gémissant dans mon oreille, la tête reposée sur mon épaule alors qu'il se laisse complètement reposer sur moi.

-Tu es si excitant, bébé.

-Et toi t'es trop sexy pour cette planète.

Je ris à sa remarque et accélère mes mouvements.

-Oh oui, putain, c'est bon !

Ses mains passent derrière lui pour empoigner mon érection au travers des tissus qui le renferme.

-Et si tu enlevais tout ça ?

En prononçant ces mots, sa main essaye de défaire ma ceinture, mais n'y arrive pas, alors je me détache de lui pour le faire à sa place. Il se retourne et se baisse à genoux devant mon sexe maintenant hors de sa prison. Il la prend entre ses petites mains puis passe sa langue sur mon gland et sur toute la longueur. Je lâche des soupirs de bien être puis un gémissement lorsqu'il la prend dans sa bouche pour la sucer. Il entreprend de me faire des gorges profondes jusqu'à ce que je l'arrête avant de jouir.

-Stop, stop, stop !

-Tu ne veux pas jouir dans ma gorge ?

-Non, dans ton cul oui.

Je lui souris puis le remonte par les aisselles et le retourne dans sa position initiale. Je suce deux de mes doigts rapidement afin de les humidifier et les dirige vers l'entrer à Louis pour le préparer à mon arriver. Malgré que ça ne devrait pas être trop long puisqu'on le fait tous les jours, voire plus qu'une fois par jour.

-Prêt ?

-Toujours pour toi, Harry.

Je jure que ça voix va finir par me tuer, un jour. Je retire mes doigts pour prendre mon membre de ma main et de la diriger en Louis. Je m'enfonce jusqu'à ce que mon bassin soit contre ses fesses et m'arrête là quelques secondes pour ensuite commencer mes vas-et-viens en lui. J'y vais lentement et doucement au début, puis au fur et à mesure des plaintes de mon petit-ami, j'accélère.

-Plus fort, Harry !

Mes coups deviennent plus brusques et sont rapides. Je dois me tenir au comptoir devant Louis pour pouvoir accéder à sa demande. Sa tête se repose de nouveau sur mon épaule et ses gémissements résonnent directement dans mon oreille, ce qui m'excite énormément. Sa main gauche passe dans mes cheveux alors qu'il me dit des mots salaces au travers de ses plaintes de plaisir.

-Harry, viens en moi. Jouis au profond de mon cul. Je sais que tu es proche.

Je grogne parce qu'il a raison, je suis si proche que je peine à me retenir de jouir maintenant. Je veux qu'il vienne avant moi.

-Branle toi, bébé.

-Hm, oui !

Je vois sa main faire des mouvements rapides sur sa verge et, voir comment il gigote contre moi, je sais que sa fin est proche. Il finit par lâcher sa semence contre les armoires de la cuisine alors que je me laisse aller en lui. Nous reprenons notre souffle, toujours dans la même position, alors que je viens déposer de gentil baiser contre son cul.

-Le repas ! Merde !

Je me détache de lui pour qu'il regarde son repas qui a fini par brûler.

-Commandons une pizza ?

-D'accord, mais allons prendre une douche pour se nettoyer.

-Je te suis, bébé.

Après avoir fait l'appel pour les pizzas, je monte pour rejoindre Louis dans la douche. Il est dos à moi et j'ai le plaisir de le regarder. Louis est si beau, c'est presqu'une œuvre d'art, mais il ne s'en rend même pas compte. Une fois, il m'a sorti que je ne le méritais pas, que je pouvais avoir quelqu'un de bien plus beau. J'ai d'abord cru qu'il me faisait une blague, mais quand j'ai vu ses larmes après mon fou rire, je me suis senti mal. Mal parce que je n'ai pas remarqué que ça le blessait que je rigole et mal, car Louis complexe sur lui-même.

-Haz', tu viens ou pas ?

-Oh, euh, oui j'arrive.

Je me place derrière lui et le câline.

-Louis, je t'aime de tout mon être. Et tu es absolument sublime.

-Je t'aime aussi, c'est toi qui es beau ici.

-Je ne veux pas retourner sur ce sujet, mais je t'assure que c'est toi.

Il pouffe, car ça ressemble un peu à une conversation d'enfant ; « c'est toi ! », « non c'est toi ! »

-Lavons-nous.

Je finis par laver le corps et les cheveux de mon petit-ami et celui-ci a fait la même chose. Nous nous sommes séchés, habillé d'un jogging et d'un t-shirt pour moi et un boxer et un t-shirt long pour Louis. Il a toujours un de mes chandails longs.

Lorsque les pizzas sont arrivées, nous nous sommes installés au salon pour les manger devant un film. Louis était collé contre moi, mangeant sa pizza et concentré dans le film. Nous avons passé la soirée collée l'un à l'autre, nous avions fini par être couché après le repas. Lui sur moi sa tête dans mon cou, mes doigts dans ses cheveux et nos jambes enlacés.

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