Chronique de Suhani : Il ne voulait pas de moi et me l'ont fais payer.

Partie 19

PARTIE 19.

BISMILLAH.

...
Moi : Té fou ou quoi PUTAIN passe moi les vétement

Il ne bouge pas et me regarde perversement.

Moi : YOURI DÉGAGE TA PAS LE DROIT

youri me regarde et me sourit

Youri : Si j'ai le droit regarde.

Il me prit par la taille me plaque au mur et m'embrasse.

Je n'ets rien vu arriver, j'ai juste senti le mur me tué le dos et sa bouche contre la mienne, son corps contre le mien...

J'étais sous le choc, mes yeux était grand ouvert, lui avait les yeux fermés.

Il m'avais fait un smack, qui n'a duré que 3 petite seconde mais qui pour moi, avait duré plus longtemps.

Il me lâche moi j'étais en sous vêtement devant lui, la honte.

En plus de m'embrasser, il me voit comme sa, j'étais énervé, contr emoi même et contre lui, car je n'avais même pas vu le faire...

Moi : MAIS TE FOU ? ME TOUCE PLUS JAMAIS VA TOUCHER TA MANEL !

Youri : En plus té jalouse ? Ah j'aime sa.

Moi : SORT YOURI DÉGAGE ; OK QUE TU ME FRAPPES MAIS LA M'EMBRASSER ET ME VOIR COMME SA ! NON PAS SA DONC DÉGAGE QUE JE PUISSE ME DOUCHER !

Il fronce les sourcils, je l'ai énervé...

Il s'approche de moi, je touche le mur, je ne peux plus reculé, je suis prise au piège.

Il baisse les yeux vers mon ventre, et avec son doigt touche men ventre, ma cicatrice...

Youri : -Calmement- C'est qui qui ta fait sa ?

Je baisse le regard vers ma cicatrice, mon cœur battait vite, trop vite même. Il tait vraiment presque collé à moi, je ne comprenais pas son comportement.

Moi : Sa ne te regarde pas, me touche plus je t'ai dit, tu n'es personne pour toucher mon corp.

Là, il lève son regard vers moi, comme si il voulait me tuer.

Youri : Je suis personne ?

Moi : Oui, personne.

Youri : -Fronce les sourcils- Répète.

Moi : Ta très bien entendu, tu es seulement l'homme qui me déteste, et auquel mon père m'a donné.

Youri : VA T4HABILLER ET FERME TA GUEULE -En sortant de la chambre en claquant bien fort la porte-

Mon cœur battait à une telle vitesse, Wouw.

Je vais faire ma douche, ça me faisait tellement de bien, Je met une serviette autour de moi.

Je vais regarder mes vêtements, c'était un sweat avec un tee-shirt blanc et des sous vêtement.

Mais ces vêtements, je l'ai reconnais, c'est ceux de Youri.
Je les met, ils sentaient son parfum....

Je vais devant la glace me regarde, je touche mon bleu, ça fait mal...

Il m'a quand même bien amoché. Il me frappe et puis il m'embrasse ? Je ne le comprends plus...*

Je sort de la douche, et je le voit assis sur mon lit, la tête dans les mains.

Il me voit, lève la tête, puis me regarde de haut en bas et sourit.

Youri : Va y ont y va.

Moi : Mais faut payer l'hôpital...

Youri : C'es tdéjà fait.

Moi : C'est qui qui à payer ?

Youri : Pourquoi tu cherches ?

Moi : Je veux savoir c'est tout.

Yuri : Moi, c'est à cause de moi que té là alors je suis obligé de le payer nan ? Bon va y ont y va.

Il me prends par le bras et ont descends arrivé à sa voiture, je monte dans, il allume la radio, il y avait des musique mexicaines qui font bouger lol.

Je pose ma tête contre la tête, lui fxer la route.

J'étais dans mon nuage (zehma) quand il me poses là question

Youri : Alors c'est qui qui ta fait ces putains de cicatrices ?

Moi : Personnes.

Youri : Dis moi Suhani je vai m'énerver.

Moi : Pourquoi tu cherches ? Puis même pourquoi t'insiste ?

Youri : Ont touche pas quelque chose qui m'appartient c'est tout puis t'inquiète je vais trouver c'est qui le batard qui ta ais sa

Moi : Tu parles tu parles mais tu me fais la même chose donc parle pas s'il te plaît.

Youri : Mais va y toi aussi tu me cherches c'est normal que je réagis comme sa

Moi : Bah va y dis moi que ce que j'ai fais pour que tu me frappes comme sa ? Tu te rends compte, j'ai perdu inutilement 1 semaine de ma vie, en 1 semaines ont peut faire beaucoup de choses, et toi, tu me l'est à volé

Youri : -Il tape sur son volent- Tu m'as chercher c'est tout cherches pas, y a personne qui à le droit de te toucher à part moi.

Moi : Mais qui ta mit dans la tête que j'étais à toi hein ? Avec tout le mal que tu me fais,tu crois que je t'aime bien moi ? Tu crois que un jours je veuille t'appartenir ?

Youri : TE A MOI ET C'EST TOUT ! C'EST MOI QUI DÉCIDE OK !

Moi : Mais tu ne décide pas sur moi, je n'appartient à personne, seulement à Allah ! Tu comprends sa ?

Youri : Mais va y ferme ta gueule. Tu m'appartient c'est tout cherche pas à comprendre par ce que moi même je me comprends pas zebi -Il frappe sur son volent-

Je met ma tête contre la vitre, sa sert à rien de parler avec lui de toute façon il te sors toujours la même chose, té à moi ! Mais je ne suis pas à lui, même si j'en rêve d'être marié à lui, je me comprends pas moi même, je le déteste, et je l'aime...Tout est confu.

Ont arrive à la maison, je rentre, je vais directement dans la chambre.

-SUHANNIIIIII !!!

Je descends aussi vite, je trouve Manel en bas les bras croisés.

Manel : Le manger compte se faire tout seule ?

Moi : Tu n'as pas de bras pour sa ?

Manel : Non mais ohh. Té la chienne ici alors n'ouvre pas ta bouche et fais ce que je te demande CHIENNE !

-Lui parle pas comme sa sinon j'te nique.

C'étais Nadir.

Manel : PFFFF mais c'est la bonne alors autant qu'elle fasse ce qu'ont lui demande non ?

Nadir : Va y F...

Je le coupe

Moi : Stop Nadir arrête elle a raison.

Manel : -Sourit-Tu vois même elle, elle le dit donc voilà, alors fait la bouffe, puis ensuite t'ira me faire couler un bain et t'ira nettoyer ma chambre à fond.

Moi je baisse les yeux et acquise de la tête.

Elle sort de la cuisine en me bousculant fort.

Nadir me regarde son regard était neutre.

Il sort de la cuisine, en claquant la porte.

Je fais ceux qu'elle a demandé ; depuis que ont était rentré, je n'avais pas revu Youri.

Je repense à ce qui c'étais passé, et j'ai vraiment honte, qu'il est touché mes lévres sans être mon mari, qui m'a vu dénudé comme sa, je l'éviterai à present.

Ont va passer 1 semaines, Youri, je l'éviter et je le voyais très rarement, Manel, elle me faisait vivre la misére, Quand à Lina, elle venait tout les jours.

Tout se passait normalement, jusque ce jours où tout bascula....