PARTIE 37.
BISMILLAH.
Je vais passer 3 jours, ce jours là, je me réveiller et pour une fois Youri n'était pas à côté de moi......
Je descends en bas, j'entends des voix je vais jusque la cuisine, puis voit...........
Sa était le choc total...
J'ai vu Kais..;J'ai pas chercher à comprendre j'ai courru dans ses bras, il ne m'avait pas vu...
Moi : Kais...Tu m'as manqué...
Kais:-Il prends mon visage dans ses maisn et me fait un bisous sur le front- Toi aussi tu m'as manqué petite sœur...
Moi : Sa fait plaisir de te voir ici..
Kais : Et moi de te voir.
Moi : -Je le prends dans mes bras et pleure-
Kais : Pourquoi tu pleures, arrête de pleurer !
Moi : Tu sais sa fait du bien de savoir que ta au moins quelqu'un de ta famille qui t'aime..
Kais : ....Moi je t'aime et je suis là Suhani je te lâcherai jamais..Je me détache de ses bras et regarde youri qui lui nous regardait avec un regard neutre.
Moi : Merci Youri ;
Youri : De rien t'inquiète -Il me fait un clin d'oeil.
Moi : vous avez déjeunez,
youri : J'suis partit acheté des croissant t'inquiète
Moi : Huuum et ta réussis à faire le café ?
Youri : Me prends pas pour un con non plus
moi : Je pose la question c'est tout par ce que toi tu casses tout
youri : -on t'inquiète bon ont t'attendais pour venir déjeuner.
Moi : J'arrive commencer j'arrive dans 5 minutes.Je monte à l'étage va dans la salle de bain et fait ma douche, mes pensées sont lointaints, je pense, à youri, ce mariage qui va avoir lieux dans 2 semaines, ma vie.
Moi : Suhani âgé de 21 ans et oui avec tout ce qui s'est passé j'ai eu mes 21 ans, et youri, fin personne le savait et je ne voulais pas les fêté. Je suis née d'une famille qui ne m'aiment pas mise à part Kais, ce manque d'amour, d'affection j'en est jamais eu dans ma vie, j'en est toujours rêvé, mon père m'a vendu à un homme, dont je suis tombé amoureuse mais qui m'a fait du mal. Et maintenant dans 2 semaines je serais sa femme. A mon mariage j n'aurai pas ma mère, ni mon père, pas de famille seulement Kais. Mais Hamdulilah je suis toujours en vie, même si parfois j'aurais voulut mourir Starfoug'Allah.. Mais Hamdulilah ma devise est de toujours dit Hamdullilah car il y a beaucoup plus pire.
A chaque fois que je me douche, j'ai honte de regarder mon corp, ce corp amaigrit, qui est pleins de cicatrices, mon dos pleins de cicatrices à causes des coups de ceinture de Emraan, quand je les vois, je me revois par terre serrant mes dents, mes yeux fermant, mes mains sur ma bouche pour m'empêcher de crier, car si je crierai je me serais manger 2x plus pire, les coups de ceintures serait devenu encore plus puissant, et j'en aurais beaucoup plus... en pensant à sa, je ferme mes yeux, j'ai l'impression de me reprendre les coups, mes joues se remplissent de larmes, je ne peux pas m'empecher de pleurer, repenser à sa, me fait affreusement mal, quand j'y repense c'sest comme si ont me mettaient des coups de poignards dans le cœur, j'ai un point je met assise sur le carelage, et me vide, pleure toute les larmes de mon cœur, fallait pas que j'y repense à tous sa, tous sa, mon passé, c'est mon cauchemard, à peine fermer mes yeux parfois je revois des scène ou je me fait insulté ou frappé, où je vois mon corp par terre en sang. Ces regards de haines.
Tout sa est encrait dans ma tête j'arrive pas à ne pas penser à tous sa une fois mes yeux fermer, combien de fois j'ai fais des cauchemard en pleine nuit, les joues pleines de larmes, combien de fois j'ai fait des crises de nerfs à cause de sa ? Mon passé, mon passé me tue, j'arrive pas à ne pas penser à tout sa...
Je me lève et essaye de me ressaisir, je me rince, sort de la douche me seche et m'habille je met sa (http://www.pimkie.fr/pantalons-femme/combinaison-salopette/combi-short-noir/899A08/p112180.html) Avec un leeging.
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Chronique de Suhani : Il ne voulait pas de moi et me l'ont fais payer.
General FictionSalem, la chronique ici présent n'est pas écrite par moi mais néanmoins j'aimerais que personne d'autre ne prenne cette histoire merci de votre compréhension. Moi Suhani, je vais vous faire découvrir mon histoire, vous allez pleurer comme rire, ou...