Trop jeune pour vivre [ TOME 1 ] ( Terminé )

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Jeudi 17 mai :

" La jeune femme ayant intégrée la firme multinationale d'informatique, exprimant toutes les informations des magazines peoples dans des sites web consultés en masse, semblait très perturbée lors de l'interview. Ceci suscite la curiosité des lecteurs : Est-ce que le jeune patron, et son associée entretiennent une relation autre que celle du professionnalisme ? "

" Eh ben, les journalistes vont loin. " Constate Nick, en éteignant la télé.

" C'est une catastrophe ! J'ose même plus regarder Donovan en face ! "

" Oh, ça va c'est rien. Je suis sur qu'il s'amuse de la situation. "

" Comment tu veux qu'il s'amuse ? Et puis il s'en fou de moi, il préfère Mélissa. "

" Mais, ce serait pas de la jalousie ça ? "

" De quoi tu parles ? " Dis-je gênée. " C'est complètement con. "

" Moi je crois surtout que tu es amoureuse, mais que tu as tellement peur de ce que peut te faire Donovan que tu le nies. "

" C'est ton cœur qui voulait parler hier soir, pas ta tête. " Rajoute t-il.

" Bon, c'est pas que je m'ennuie, mais je dois y'aller. "

Je me lève, embrassant mon frère de tout mon amour.

" Tu sais que c'est pas en fuyant que ton cœur cessera d'aimer Donovan. "

Je soupire bruyamment en sortant de la maison.

Nick à vraiment l'imagination débordante...

Enfin, j'essaye de m'en convaincre, mais au fond de moi je sais qu'il a raison.

Mais c'est impossible ! Je ne connais rien de lui, rien du tout..

Je ne sais même pas le nom des ses parents, ni ses couleurs préférées ni rien du tout.

Je prends le volant de ma voiture, sans être vraiment concentrée.

Les pensées de Nick me reviennent en tête, et encore plus maintenant que les infos s'y mettent.

Lorsque je gare ma voiture sur le parking, je m'aperçois rapidement qu'il y'a une tonne de journalistes devant les portes de l'entreprise.

C'est quoi ce bordel ?!

Donovan était à peine connu avant cette interview de malheur !

Je m'avance assez rapidement vers les portes, me heurtant contre les journalistes qui se précipitent sur moi.

Ils sont tellement nombreux, que je n'arrive même plus à avancer !