MédiCAtion

02 STRATAGÈME VITAL

Il avait coutume de jouer sur cette petite montagne avec les frondaisons qui avons peu jaunies par une bonne quantité massive de brouillard matinal. Cette fois ne ressemblera plus aux autres.

Il attrape sommeil sur cet petit monticule de la maison, les fleurs lui tombaient dessus le corp il grondait. Deux voix lui parlaient simultanément : jeune homme, qu'attends-tu? Que rêves tu encore là ? Disait l'une. L'autre un peu plus audible lui susurrera   à l'oreille : crois-tu pouvoir bien mener une vie qui t'éprend? Ha..Ha. Il n'y a rien de mieux à faire dans ce monde.
-Comment t'appelles-tu ?
-J'suis Abel fils de séraphin. Répondit-il
-Que cherches tu?
-Je me cherche moi même, dans ce monde flippant. Je suis perdu. Je me cherche parmi mes ami, j'ai peur, qui suis-je. Je suis fini. Est-ce toi Papa?
La voix lui répondit :
-J'suis le chemin. J'suis l'antidote dont tu as besoin. J'suis le stratagème vital. J'suis la voie que tu cherches. Je suis le stratagème vital.

-Abel! Abel! Réveille toi. Murmura son père en lui tapotant.
Ébahi, Abel sursauta, il cessa cette aventure ineffable.
-Papa il y'a maintenant deux jours de cela, deux jours où je ne cesse de revoir ces rêves.
Autour de la table bien installé pour le petit déjeuné, sa grand-mère qu'il a donné le pseudo de "Mama J" était la. le fils expliqua à son père ce cauchemar qui ne cessait de lui frissonner  sur son petite redingote sanglante avec une voix monotone.
-le monde est comme un rythme du "psiko" ( une danse des mancagne) à suivre. Tandis-que les cauchemars sont, ou des ressentiments d'un passé, les pressages d'un futur ou le plan d'un présent qui est au aguet. Ils ont le pouvoir soit de nous renchérir et nous parvenir sur une aune prestigieuse soit de nous flétrir et de nous faire mourir dès lors où nous les laissons nous  assaillir. J'sais ce que t'éprouves fils. Disait le père.

Après le déjeuné, le père promena à la boutique avec Abel, pour y chercher une pèle

Le père poursuit: "Pauvre éboueur, il n'est qu'un pauvre qui ne mérite rien. Pauvre lâche. Il ne s'en sortira pas. Je ne pense qu'il puisse être"  c'était la nouvelle que  colportaient les natifs de ce village à mon égard...
Que mes ancêtres n'étaient pas du village, que nous étions des étrangers qui venaient de nul part et qui aient occupé les terres d'autrui et nous ne méritions pas notre gagne pain au quotidien.. Dans ce petit enclos. Nous étions la proie qui multipliait leur appétit

Pour en effet te dire qu'il y'a des années où j'étais sur ce même chemin où les personnes te vilipendent sans que tu aies la moindre idée de la cause saugrenue qui fasse que tu sois la lumière qui éveille le démon qui radote en ces dernières.
-Oui papa mais toi tu me parle de la réalité. Moi je te parle de rêves. Rétorqua Abel sarcastiquement.
-tout désir commence par des rêves et toutes rêves se réalisent par le désirs. N'est-ce pas le psychologue, l'homme, le sage de Concord RALP WALDO EMERSON soutenait "attention à vos désirs ils finiront par devenir réalité" toujours le père.
Ta mère et moi étions confrontés à de telles sautes de rumeurs. Les excavations de notre lit ne cessait d'être rempli de larmes, la nuit.

Pourquoi tout cela, que me racontes tu, père ?

-Le voici en montrant du doigt c'est lui l'éboueur, séraphin avec son fils Abel. Marmonna Angèle  à ces deux jeunes Amies Efe et Lynda
Angèle est une fille d'une famille fortunée.

Abel ayant croisé le regard de ces jeunes filles d'un regard terne il s'enquit sur le geste du doigt de Angèle.

Mais son père prenant la pèle, lui disait-il Tu comprendras un jour viendra....prend la pèle et partons le soleil ne tardera d'être au zénith nous devons finir le champ aujourd'hui... Disait-il le père l'enfant et son père partir au champ.

Cependant, à la couchée vespérale, le petit Abel venait du champ tout fatigué dans ses guenilles.
-Mon petit ange viens par ici interpella grand-mère, "Mama J" 
J'ai bien entendu ton rêve. Je sais que tu franchiras l'écorce de cet chêne qui te tienne encore. J'prie que tu pérennes ton père. Disait-elle sous l'arbre à palabre en regardant les yeux scintillante du bonhomme, Abel esquissa un sourire sur le visage..