MédiCAtion

LES ORAISONS

Nous marchons. Nous luttons. Nous communiquons.
Nous pensons. Nous aidons. Nous agissons.
Nous tombons. Nous réclamons. Nous grandissons.

Tous, pour une bonne cause.

Être parlé. Être conseillé. Être éduqué. Être averti.
Être bercé après une situation horrible. Être consolé. Être guidé. Être corrigé.

Qui aurait rejeté par-devers cela?

C'est cela que chaque personne souhaite. Le désir qui pénètre le coeur de chaque être humain
Nous aurons aimé impavidement être redressé par la famille, une personne à nôtre côté qui nous protège devant des rafales.
Une fée qui t'écartera des expressions de sentiments prosaïques.

Mais quand tout cela est devenu impossible à un moment, que faire?

Angèle était loin de ses parents, disons que toutes les portes lui sont désormais ouvertes à l'improviste. Qui pouvait l'arrêter quand viendra l'esprit de la tentation ?

Après avoir pris une bonne douce, son corps d'un teint maron scintillent. Elle entre en extase. Toutes ses pensées et émotions étaient orientées sur Abel. Elle appela:

Abel venait à peine d'arriver dans sa chambre il avait déjà mis en place sa valise. En sortant de la douche après le bain il ressaisit le livre de la médication il lisait un passage de grand mère "mama j" que voici :

" l'homme, tu voyageras un jour de ta vie. Dans ton propre pays ou hors de ton pays peu importe. Le voyage sera toujours qu'un voyage. Dès lors où on a changé de lieu qu'on ne voit plus les mêmes personnes, qu'on ne vit plus les mêmes moments c'est déjà un voyage.
Alors, tu feras attention à toi à tes ami-e-s et à tes pulsions. Car quand on mord à l'hameçon de ce qui est l'iniquité, on ne peut plus sortir au pied de la lettre de ce guet-apens "

Abel en méditant sur ce passage soudain le téléphone sonna mais elle finie par tomber sur une boite vocale c'était Angèle :

-bonjour Abel ! Je t'appelle mais ton téléphone sonne sans succès. J'suis bien arrivée. Je loge aux Mermoz. N'hésite pas à me rappeler des que tu seras devant une alternative quelconque ou un besoin. Bye porte toi bien.

juste pour ne pas être dérangé dans sa divagation spirituelle, le jeune Abel refusa de répondre à l'appelle

C'était en 2009 Rufisque n'était pas encore aussi peuplé. Mais il quitta Rufisque d'ici un mois. Il alla à fasse où il rencontrera de nouveau le fumeur Djibeléne et Jean ces deux amis auxquelles il avait partagé la voiture.
Ils étaient tous à la fac médecine auprès de la couloir de la mort juste à l'entrée c'était la leur fac. Claire Afrique, cette bibliothèque était déjà là.
Les trois jeunes finirent par habiter une chambre à fasse.

-je n'aurait jamais cru que nous soyons encore ensemble un jour. Clama Djibeléne

-Nous ne sommes des montagnes. Seules ces derrières qui ne se rencontre rétorqua Jean

-J'suis heureux que nous soyons encore là aujourd'hui.

Il aime bien joué à la comédie Djibeléne malgré cela la prière était primordiale dans son royaume :

-J'aimerai tenir quelques oraisons dans cette église derrière. Allons priés. Disait-il.

Alors ils partirent et firent monter leurs prières d'Oraison à leur morts en guise de leur amour

"Me voici aujourd'hui loin. Loin de toi grande soeur. Tu m'a quitté il y'a 2ans. Mais  J'sais que tu est ici à présent toute prêt de cette cierge qui s'enflamme. Tu m'entends. J'élève ces prières à toi. Puisse Dieu t'accueillir dans son paradis céleste. Dieu puisse t'assouvir" c'était la prière que proclamait Jean en honneur de sa grande soeur