Chapitre 4

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Chapitre 4 :

Cameron

Quand je l'ai regardé dans les yeux tout à lheure, jai directement su. C'est elle mon âme-soeur. J'avais déjà commencé à faire des recherches en allant dans différents pays sans montrer ma vraie nature, ou en allant dans différentes meutes. Mais je ne l'ai jamais trouvé. Mais en regardant Liliana dans les yeux j'étais heureux. Javais enfin mon âme-sur près de moi. C'est comme si mon coeur avait explosé. Un sentiment de pur bonheur mavait pris. J'ai quand même eu une réaction bizarre. Je suis parti. Je l'ai laissé seule dans le couloir sans quelle ne comprenne ce qui c'était passé. La journée était finie, mais avec mes amis et ma sur nous décidons de suivre Liliana discrètement jusqu'à chez elle. Elle marche tranquillement et regarde derrière elle de temps à autre. Elle s'arrête devant une maison assez grande en bois. Elle paraît tendue et hésite à ouvrir la porte. Elle prend une grande inspiration et entre.

Nous sommes toujours devant chez elle. J'ai un mauvais présentiment. Déjà ce matin, personne n'a cru son excuse dû faite quelle était malade. J'ai bien vu quelle boitait légèrement. J'étais dans mes pensées quand un cri retenti et une douleur me vint au niveau de l'abdomen. Je me tordis en deux tellement la douleur était forte. Mes amis comprennent ce qu'il se passait sortir de la voiture et m'aidèrent à me lever. Nous nous dépêchâmes d'aller vers la maison. Je commençais à voir flou et je savais quil fallait qu'on se dépêche. Je défonçai la porte et entrais à grande vitesse. Je vis Liliana au sol. Elle perdait connaissance. Je vis son père derrière elle. Je ne réfléchis pas et lui sautai dessus avant de le ruer de coup.

-Cameron arrête ! Liliana a besoin de toi maintenant ! Me cria Jayden

Je repris contenance et relevai la tête vers Liliana. Un sentiment de tristesse et de culpabilité me pris à sa vue. Allongée parterre, inconsciente. Je la pris dans mes bras et parti direction la voiture. Amélia me suivie, les larmes aux yeux.

-Je m'en veux. J'ai bien vu quelle n'allait pas bien. Elle paraissait triste. C'est ma faute. Dit ma soeur en culpabilisant.

-Rien n'est ta faute ! C'est son père le fautif. Il n'a pas le droit de la frapper ! Lui dis-je en la rassurant.

Nous prîmes la voiture. Je savais que mes amis se débrouillerai pour rentrer. Je roulais à toute vitesse. Grâce au lien de meute, je prévins Marc, notre médecin. A peine arrivé, je pris Liliana dans mes bras et partis en direction du chalet de Marc pour qu'il la soigne.

-Que c'est-il passé ? Nous demandâmes Marc.

-C'est mon âme-soeur. Elle s'est faite frappée par son père. Répondis-je.

-Je suis désolé Alpha. Me dis Marc en baissant les yeux

-Rien n'est ta faute Marc. Peux-tu la soigner s'il te plaît ? Demandais-je calmement, même si la rage brulait dans mes veines. Mes loups n'étaient en rien fautifs, je ne devais déverser ma rage sur eux.

-Oui ne t'inquiète pas. Massura-t-il.

Au bout d'une heure de soin, Marc m'annonça que je pouvais la ramener dans mon chalet. Je la pris dans mes bras. En arrivant mes amis attendaient dans le salon, les traits tirés. Ils étaient anxieux. Ils bondir du canapé en me voyant arriver.

-Comment va-t-elle ? Me demanda Liam.

-Elle va mieux, Marc la soignée. Je vais la mettre dans ma chambre j'arrive. Les rassurai-je.

Je la mise dans notre lit. Ne voulant pas voler son intimité, je demandai à Amélia de la changer et de lui mettre un de mes t-shirt comme pyjama. Je retournai voir mes bêtas pendant ce temps-là. Lucas n'avait pas lair bien. Je pense qu'il se sent coupable de n'avoir rien vu. Comme nous tous. Je m'avançai vers lui.

-Tu ne dois pas te sentir coupable Lucas. Le rassurai-je

-Si. Je suis son ami et je n'ai rien vu. Me dit-il en colère

-Nous non plus nous n'avons rien vu. Mais elle ne voulait pas qu'on le sache. Le rassura Aaron.

-Nous nous sentons tous un coupable de ne pas avoir pu l'aider. Lui dis-je en mettant une main sur son épaule.

Il me regarda, puis moffrit un timide sourire. Après que nous ayons mangé, je partis dans ma chambre rejoindre Liliana. Elle était toujours inconsciente, mais on n'avait plus l'impression quelle dormait. Je m'allongeais à côté delle et lui enlevais une mèche de son visage, délicatement. Elle était si belle, ses cheveux roux lui allaient à merveille. Je l'a pris doucement dans mes bras et m'endormi.

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