Je-

Bad Liar

Bad liar

« So look me in the eyes, tell me what you see,

Perfect paradise, tearin' at the seams

I wish I could escape it, I don't wanna fake it.

Wish I could erase it, make your heart believe »

*

[Lettre à toi]

Entends-tu cette pluie, touchée le sol, créant un petit bruit court, qui se répètent, tout le temps.

A tous les temps, j'aurais pus te dire que je t'aimais, je t'aime, je t'aimerais, sous cette pluie, où nos lèvres se touchâmes, ce fut notre premier baiser, assez timide, mais avec beaucoup de douceur, de finesse, j'aimais bien cette sensation sur mes lèvres.

Tu arrivais à me noyer dans ton regard de braise, tu me brûler, rien qu'avec ton rire malicieux, je ne voulais qu'une chose : toi.

Rien que toi. Toi et moi, moi et Toi : Nous deux.

Je t'ai vue pleurer, un mélange de joie et de tristesse, je n'ai pas su comprendre ce signe, mais peut importer, je voulais que ton bonheur et non ta tristesse.

Je voulais t'emmener au 7e ciel, au paradis.

Puis j'ai compris, j'ai vue que tu te lassée de moi, de nous, de notre vie monotone, je sentais que tu pensais à d'autres choses, à quelqu'un d'autre. Quand je te parlais, tu ne me répondais avec quelques mots, comme si tu avais perdues l'usage de ta voix, quand je t'embrasser, tu me répondais à peine, quand on prenais notre pied, j'étais le seul à le prendre, tu étais ailleurs, quelque part mais pas là, pas ici, pas avec moi... mais avec lui.

J'ai vue la fin venir, mais je n'y croyais pas à cette fin, j'ai pensé que tu voulais du renouveau, je t'ai demandé si tu voulais être ma femme, m'épouser, tu as réfléchis puis ...souris, et tu m'as dis que c'était fini entre nous deux, et tu m'as quitté, tu m'as laissé seul.

J'ai pleuré, je t'avais vraiment perdu, je ne savais plus quoi penser, sans toi j'étais perdu.

Seul, oui et bête.

Tu m'avais rayé de ta vie, tu m'avais oublier, moi je n'arrivais pas, mais trop de questions venaient et repartaient de mon esprit.

Je t'ai revu, un jour, en ville, normal, tu étais avec lui, j'ai eu ma confirmation, tu m'avais remplacer, si vite, même peut être avant, je ne sais pas. Je ne sais pas pourquoi, j'écris cela, car tu vis ta belle vie, maintenant, mais moi dans tout ça, je t'ai laissé partir, car ici tu suffoqué, tu arrivais plus à être heureuse avec moi, je ne t'en veux pas, j'en veux à mon esprit, de ne t'avoir pas oublier, que je n'ai pas tourner la page, que tu me tortures.

Je suis réfugié chez moi, le chez moi, qui veut que tu reviennes, que tu m'enlace, m'embrasse, me souris, que tu l'oublies, que tu ne m'abandonne pas, ...

Triste réalité, illusions trompées, tu n'étais pas dans mes bras, tu ne l'es toujours pas, plus aucunes ondes de ta présence n'est visible. C'est vrai tu m'as quitté, et tu ne reviendras pas....