chapitre 2 ( Corrigé )

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Oz en avait plus que la tête.

Toutes ses femmes qui défilaient devant lui sous prétexte qu'elles étaient là pour le poste de secrétaire, lui filait la nausée. La plupart d'entre elles étaient là juste pour espérer l'entrevoir et plus,devenir sa maîtresse. Pas que cela le dérange en soi, comme on dit, il faut tout les moyen pour accomplir quelques choses dans la vie. Mais là maintenant, il n'était pas d'humeur pour ce genre de choses.

Une blonde, une brune , encore une blonde, une rousse , et une fois de plus une blonde complètement fausse et qui de plus avait un pois chiches a la place du cerveau. Pas que cela l'aurait dérangé, il n'avait pas besoin qu'elle soit intellectuel pour la mettre dans son lit. Mais ce n'était pas le moment.

Et en fait, ce qui étais encore pire c'était qu'il n'arrivait pas à les différencier, tant le maquillage étais prenant et ressemblant, voilà pourquoi Oz avait l'impression de voir une famille défiler devant ses yeux.

Il en avait plus que marre . Il le sait , il se savait très séduisant, mais pourquoi toutes les femmes doivent être a chaque fois en chaleur une fois qu'elles l'avais vu? Pas que sa le dérange, lui même aimait quand elles avaient ce genre de réaction sur son passage.

Lui même étant un playboy, ne devais pas critiquer ses femmes , quand il voyait une belle femme , c'est vrai qu'il devenait exciter, mais au moins lui il se contrôlait, s'avoua t-il.

Pour lui l'heure du travail se différenciait de tout. A ce moment là, il aime être concentrer et sérieux. Même s'il nourrissait le fantasme de mettre une femme qu'il appréciait peut être un peu sur son bureau et plongerai en elle .

Seigneur !!! Mais à quoi pensait-il si sa mère l'entendait, elle lui aurait coupé la langue et l'aurait donner en pâture aux cochons. Mais de toute façon, elle n'était pas là et ne pouvait lire ses pensées, alors il était libre d'avoir des pensées obscènes autant qu'il le souhaitais.

De plus son statut d'homme marié ne l'avais jamais arrêter et n'arrêtait pas les femmes a qui le goût de l'interdit attiraient et qui pensaient qu'il serait mieux d'avoir quelque chose d'inaccessible que non.

Alors quand aucune d'entre elles ne lui convenaient du moins sur le plan intellectuel, et qu'il appris que la dernière qui devait être là était en retard, il se sentait à bout. Sa patience avait des limites.

Assit dans son fauteuil il contempla par la baie vitrée la ville déjà en pleine effervescence. Étant au dernier étage de son immeuble, il pouvait voir au delà de ce que de simples gens en bas ne pouvait voir et il en était fière .

En continuant sa contemplation, il s'imagina ce que cela pourrait lui procurait s'il allait courir sur la plage près de chez lui et sentir le vent sur son visage, sensation que Oz aimait particulièrement.

Il se leva et remis sa veste noir sur sa chemise blanche et, Il allat demander à sa secrétaire d'accueil de clôturer ses derniers rendez vous de la journée, quand il eut un toc à la lourde porte. La voix aimable mais ferme de Marissa annonça la venue de la retardataire.

Il lui ordonna de la faire congédiée. Il était trop énervé pour recevoir qui que se soit d'autre , et il préfère encore faire un jogging plutôt que de voir encore l'une de ses pots a peinture.

Il ferma les yeux une seconde et soupira. Il se sentait vraiment très fatigué. Il en était la , quand il entendit la porte s'ouvrir avec fracas et qu'une petite bouille a tête blonde entra fermement dans la pièce

__ Mlle, vous ne pouvez pas être ici s'il vous plaît ! Tenta de raisonner Marissa derrière la nouvelle venu.

La femme qui forçait le passage se plaça littéralement devant lui sous son nez.

ÉPRISE DU MILLIONNAIRE [ EN RÉÉCRITURE ]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant