Arkamtale

Chapitre 11 : Espoir

Dream était dans son lit... sans Geno... seul... triste... il n'avait presque plus d'espoir...

Rien ne réussissait...

Ses contactes ne retrouvait pas Nightmare... RobinoBlue ne répondait pas à ses appel... il était seul... même Geno l'ignorait... il n'avait plus aucunes chance d'arrêter son jumeaux...

Et celui qu'il aimait... il devait surement lui en vouloir...

Tout le monde lui tournait le dos.

Et puis...

Une petite sonnerie commença à retentir dans la pièce, tandis que son portable se mettait à vibrer. Il décrocha tout de suite, ne regardant même pas qui l'appelait... espérant juste que la personne allait bien. Et... à sa grande surprise, c'est une voix féminine qu'il connaissait bien qui se mit à retentir à l'autre bout du fil.

« -D... Dream ?

-Snow ? Tu vas bien ? Où es tu ?

-Parle moins fort... » Elle semblait inquiète.

« -J'ai pas beaucoup de temps...

-Je t'écoute.

-C'est au sujet de Nightmare... J...Je ne suis pas de son côté... je... veux t'aider à le ramener à l'asile...

-C'est pour son bien, je savais que tu me comprenais.

-Oui... on va lui tendre un piège, d'accord ? Tu le captureras et tout rentrera dans l'ordre...

-Ok.

-Je t'envoie des info très vite. Courage, Dream. On va réussir.

-Toi aussi, courage... et merci... vraiment.

-C'est rien, Dream. Aller, à bientôt. »

Et la communication coupa.

L'espoir revint.

Heh... c'est ce que le justicier pensait.

Snow avait tout prévue... elle n'avait pas encore tout dit à Nightmare mais elle savait que ça allait lui plaire.

C'était une belle surprise qu'elle lui préparait. La vie de son frère, offerte sur un plateau d'argent... un très beau cadeau qui lui plaira. Pendant que le milliardaire commençait à retrouver sa bonne humeur, son amant, lui...

« -Aller Paradox... ton père revient vite, il te l'as promis.

-Pourquoi il est partie ! Je veux pas retourner en cours, je lui ai déjà dit !

-Il ne veut pas te forcer... il veut juste savoir ce qui c'est passé.

-Pff... » Le petit squelette fit la moue.

« -Tu sais que ton père ne te forcerais jamais à rien.

-Je veux pas qu'il parle à l'autre méchant. »

Le plus grand des squelette fit alors un gentil câlin à son neveux.

« -Il le sait... mais il faut tout de même lui parler.

-Oui... » L'enfant fantomatique ferma les yeux, se laissant aller contre son oncle.

« -Tu vas voir, quand tu te réveilleras, ton papa sera la.

-Hmm... » Fermant les orbites, le petit squelette s'endormit rapidement.

Geno resta comme ça, Paradox dans ses bras. Il avait promis à son frère de s'en occuper aussi bien que lui pouvait le faire. Error, lui, se trouvait actuellement dans un des couloirs de l'université. Il avait prit rendez-vous avez Sora et attendait que le professeur finisse son cours pour pouvoir lui parler. Celui ci arriva pile à l'heure.

« -V...Vous vouliez me voir ? » Il semblait nerveux.

« -oUI.

-C'est... à quel propos ?

-VouS AvEZ DiscUTEZ AveC MoN FiLS.

-E-En effet.

-je PeuX SavOIR De quOI ?

-Eh bien... » murmura-t-il avec embarassement.

« -J...Je lui ai demander si il connaissait un certains Fatal... parce que... il lui ressemble beaucoup physiquement...

-aH. » lança froidement Error.

« -J...Je ne comprend pas le problème...

-Je conNais FatAl et nous AVons Eut, il y a trEs lonGTemps, un Très lOURD CONFLiT.

-O... Oh... je... pardonnez-moi.

-Ce N'EST RIEN. Mais ça cOncernAIt mon filS et... ça Lui aVAit fAit beaucoup de Mal. Il ne sUppOrte Pas qu'on pArle De lUi.

« -Je ne savais pas... veuillez m'excuser.

-cE N'ESt RIEN.

-Si... je peux faire quoi que ce soit...

-vOUS SavEZ... ça Date De SI lonGTempS. Il n'Y A RIEN à faiRE.

-Je vois... eh bien... je m'excuserais à Paradox la prochaine fois que je le verrais.

-bIEN. MercI... Comment déJà ?

-So...Sora...

-MercI, SorA. »

Le professeur esquissa un léger sourire.

« -De rien... »

Le squelette aux os noir le salua poliment et partit rejoindre son enfant.

Rester seul, le pirate informatique soupira... puis, sortant son portable, il commença à faire des recherches sur Fatal. Malheureusement pour Error, son intervention n'avait fait que rendre plus curieux le professeur. Mais ça, le père de famille ne le savait pas. Lui il était bien heureux de libérer son frère pour récupérer son fils. Laissant de côté son travail pour un jour, il décida de rester avec son précieux enfant. Il le méritait bien.