Chapitre 2 Traque

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Tokyo, Marseille, le Chef Serbe et Rio arrivent devant la porte de la bibliothèque.

Marseille : 1....2.....3.

Tokyo ouvre la porte et ils entrent tous les 4.

Rio : Merde. Ça recommence.

Du côté du Professeur :

Sergio s'approche de l'inspectrice qui donne à manger à son enfant.

Alicia rigole : Oh oui tu aime bien ça hein.

Sergio : Qui est le père si ce n'est pas indiscret ?

Alicia : Si je le disait, on ne me croirait pas.

Sergio : Nous braquons la banque d'Espagne alors j'ai arrêté de croire en l'impossible.

Alicia regarde son bébé : Bon bah tu veux dire bonjour à ton oncle le Professeur ?

Un air choqué se dessine sur le visage de Sergio.

Sergio : Pardon ?

Alicia : Cette enfant est celui d'Andrès.

Sergio : Mais...comment ?

Alicia : Lorsqu'il a su qu'il allait mourir, il voulait laisser une partie de lui sur terre pour que cette famille continu de vivre. Donc il a décidé de faire une sorte de don en mettant son...

Sergio : C'est bon si on pourrait épargner les détails ça serait bien aimable. Mais pourquoi ne pas vous avoir fait cette enfant directement ?

Alicia : Parce qu'il préférait ma sœur à moi. Andrès ne voulait pas gâcher son amour avec elle mais il avait un minimum de sentiments pour moi alors il a fait ce don en me disant que « Lorsque qu'il mourra et que je serais prête, je m'implanterais cette enfant ». Alors je l'ai fait.

Radio du Professeur : Sergio tu me reçoit ?

Du côté des braqueurs :

Alan : Sergio ?

Professeur : Je te reçoit Alan.

Alan : Parfait il faut que je t'explique certains trucs.

Professeur : Qu'est ce qu'il c'est passé ?

Alan : On a réussi à reprendre le dessus sur les otages Palerme et Stockholm sont avec eux pour les surveiller. Denver et Helsinki vont beaucoup mieux, ils sont paré au combat et on a réussi à attraper un garde mais on a un gros problème.

Professeur : Lequel ?

Alan : Gandia, le Gouverneur et le reste des gardes ne sont plus dans la bibliothèque.

Le Professeur tombe sur son siège de désespoir et frappe trois fois sur son bureau. Il reprend ses esprits.

Professeur : Ils ne doivent pas être bien loin, il faut que vous les cherchiez avant qu'ils s'en prennent à quelqu'un d'autre.

Alan : La Banque est grande Sergio, il y a forcément d'autres cachettes.

Professeur : Alors interroge le garde et trouve ou sont les cachettes possibles. Il faut que vous retrouviez Gandia au plus vite parce que cette fois-ci il n'est plus solo mais en équipe.

Alan : Bien reçu. Ah et au passage quelqu'un voudrait te parler.

Lisbonne : Sergio ?

Le Professeur lâche des larmes de joie.

L'amour n'a pas de fin partie 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant