Le Caporal 𝓭𝓸𝓶𝓲𝓷𝓮. | 🔞

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/! \ Contenu explicite et moralement douteux, je ne fais pas l'apologie du viol et ne l'encourage pas. Si vous êtes sensibles à ce genre de choses, passez votre chemin. /! \

Je suis responsable de ce que j'écris, pas de ce que vous lisez.

*****

Désorientée, je sentais un parfum flotter autour de moi.

Mes yeux persistaient à rester clos, me plongeant dans l'obscurité alors qu'un silence de plomb régnait.

Je ne me sentais ni capable de bouger, ni de parler, je ne sais pas trop si je n'en avais pas la force ou si je ne pouvais simplement pas.

Une certaine tension tendait tout mon corps, comme s'il savait ce qui l'attendait. Un frisson suivi d'un claquement, je ne pouvais qu'imaginer l'homme qui marchait lentement autour de moi, comme un chasseur traquant sa proie.

Lorsque je tentais de dire quelque chose, seul un balbutiement s'échappa du fond de ma gorge, j'étais incapable de prononcer le moindre mot.

Une caresse parcourut mon abdomen, je réalisais alors que j'étais entièrement dévêtue. Toujours privée de ma vue, je frissonnai à nouveau ; des mains puissantes plaquèrent mes épaules à même le sol, glacé, un souffle glissa le long de mon cou alors qu'une main baladeuse commençait à réchauffer mon intimité.

Un gémissement rauque résonna contre ma clavicule, il empoigna mes cheveux de sa main libre et tira ma tête en arrière.

Mes sensations, décuplées, je ressentais chaque parcelle de mon corps : mon dos contre le béton gelé, ses doigts glissant à l'intérieur de mes cuisses, humides, insatiables, sa respiration contre ma peau. Un long soupir m'échappa, ses lèvres happèrent mon lobe.

- Tu m'excites, murmura t-il au creux de mon oreille.

Ma respiration se coupait à chaque pression supplémentaire qu'il infligeait à mon bouton de chair.

- J'ai envie de te pénétrer, souffla t-il d'une voix lascive.

Chacune de ses paroles m'excitait un peu plus, mon corps ne répondant que trop bien.

Il s'arrêta juste avant le point culminant, une frustration envahissait mon bas-ventre. Je n'eus pas le temps d'y songer plus longtemps qu'il me redressa ; j'étais désormais à genoux.

Mes mains liées dans le dos, j'entendis un tintement.

Sa paume se pressa sur ma joue, s'engouffrant lentement dans ma chevelure.

Je sentis alors une pression sur mes lèvres scellées.

- Ouvre.

Je m'exécutais : la langue en avant, j'ouvris ma bouche, avide, et accueillit chaque centimètre de son membre parfaitement dressé jusqu'au fond de ma gorge.

Je suivais le rythme de ses hanches, suçant, léchant goulûment sa chair tendue. Sa hampe me comblait, pulsait sous ma langue, l'excitation traversait mon corps jusqu'à on intimité.

Il se retira délicatement après avoir joui, afin d'être sûr de ne rien laisser sortir.

La lumière jaillit et m'aveugla, il m'attrapa fermement la mâchoire pour me forcer à le regarder dans les yeux. Il avait un regard sévère, des traits fins et une bouche sensuelle, sa chemise ouverte dévoilait un torse sculpté.

Il approcha lentement son visage, ses lèvres m'embrassaient d'abord tendrement.

- Je voulais que tu vois le visage de celui qui va te prendre toute la nuit.

La vue me fut ôtée à nouveau, ses lèvres se plaquèrent contre les miennes tandis que sa langue s'introduisit dans ma bouche, il approfondissait le baiser, bien plus fougueux.

Sans prévenir, ma tête se retrouva contre le sol, mon bassin incliné vers le haut, alors que mon dos se cambrait.

L'une de ses mains entourait mon cou, me maintenant à terre tandis que l'autre parcourait mon corps, pressant ma poitrine, pinçait son extrémité et la tirait sans ménagement. Cette douce torture dura quelques instants et la main salvatrice descendit plus bas, s'y aventurant une nouvelle fois.

Bien obligée d'écarter, à chaque petit cercle, un peu plus mes jambes, je haletais de plus en plus.

- Ne gémis pas, ordonna t-il.

Son membre s'insinua lentement entre mes cuisses, caressant mon intimité ; il fit glisser le bout de sa verge le long de ma fente, ne cessant de martyriser mon bouton de chair et enfonça son gland à l'entrée.

Je ne pus réprimer un gémissement à ses caresses, l'homme gifla mes fesses et me pénétra entièrement.

Je gémissais une nouvelle fois, pantelante, mon bassin tremblant de désir n'attendait que ses coups de rein.

Il me redressa, toujours à genoux, contre son torse, sa première main maintenait ma tête haute alors que la deuxième emprisonnait mon sein. Il colla ses lèvres à mon oreille afin de murmurer ces quelques mots :

- Je t'avais prévenu.

Sa main traça un chemin brûlant jusqu'à mon sexe avant de recommencer son long supplice. Mon corps tout entier se contracta, je ne contrôlais ni mes tremblements, ni ma respiration et encore moins les légers mouvements que faisaient mes hanches alors que j'étais toujours empalée par son membre durci.

Malgré mon excitation et son sexe chaud que je sentais gonfler en moi, il restait immobile et m'empêchait d'atteindre l'orgasme.

Au bout de plusieurs longues minutes, la frustration était telle que je ne pus retenir une larme.

Son pouce la cueillit, je sentis ses lèvres s'étirer contre mon cou tandis que les miennes n'attendaient que d'être rassasiées par sa verge.

Il m'inclina une nouvelle fois, m'offrant à lui et ses coups de reins débutèrent.

Il accéléra le rythme, des claquements secs résonnèrent, mes gémissements se firent plus bruyants encore alors que sa main massait vigoureusement mon clitoris.

L'orgasme éclata enfin, je m'écroulais par terre, remplie de sa grâce. Je n'entendais plus que les battements de mon cœur et sa respiration saccadée.

Je l'entendis se relever et souffler à mon égard, avant de claquer une porte :

- Cinq minutes.

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⏰ Dernière mise à jour : Jun 07, 2020 ⏰

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Livaï x Reader [OS]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant