Good Mistake

Chapitre 15 Kipling

Surexcité, la queue en feu, j'essaye de me calmer autant que possible.

Elle est partie juste après notre baiser pour m'attendre dans sa chambre, et quel baiser !

Je n'avais jamais ressenti une telle excitation lors d'un baiser, pas même avec Sandra...
C'est la première fois que je vais coucher avec une femme pour qui je ressens autant de chose depuis sa mort.
Étrangement, je ne ressens aucune culpabilité contrairement à d'habitude.

Burn revient peu après et me regarde avec un sourire narquois.

- J'imagine que je vais continuer la surveillance seul dit-il.

J'hoche la tête.

- Et... Évite d'en parler, les gars peuvent se montrer lourd, je veux pas qu'elle soit mal à l'aise repondis-je.

- D'accord, je t'attends pas pour aller me coucher j'imagine ?

- Non repondis-je.

- En quelques heures tu délaisses déjà notre lit conjugale, je devrais te faire une crise de jalousie dit-il l'air offusqué.

Je ris et le tape sur l'épaule avant d'entrer dans l'hôtel.
Je récupère 5 capotes du distributeur.

Je monte au premier, la ou se trouve sa chambre.
J'ouvre sa porte et la vois debout, devant la fenêtre.
Je ferme à clé.

Nous avançons en meme temps et reprenons notre baiser, je la fais reculer jusqu'à basculer sur le lit sans jamais quitter ses levres.
Nos mains se baladent sur nos corps.

Je n'ai jamais été aussi brulant de désir.

Elle commence à tirer sur mon cuir, je me detache d'elle m'agenouille entre ses jambes et retire mon cuir et mon tee-shirt  et les jettes au sol.
Elle enlève son débardeur et mon regard tombe sur sa belle poitrine.
Je passe ma langue sur mes levres avant de fondre sur ces beaux globes bien rond et bien ferme.

Je leur inflige suçotement, suçon, je les mordille et les lèches.
Ses gémissements et ses cris sont de plus en plus strident, j'adore sa réceptivité.

Je sens ses doigts baisser ma braguette, je soulève les hanches pour qu'elle puisse avoir accès à ma queue.
Elle la saisit et commencer à faire coulisser ses doigts en titillant le gland de son pouce.
Je pousse un râle étouffé par son sein se trouvant dans ma bouche.

Je suis bien trop proche de la jouissance, ma queue pulse entre ses doigts.

Je me redresse à nouveau et retire sa main.
Je sors les capotes qui se trouvent dans la poche arrière de mon jean, j'en garde une que je lui tends et pose les autres sur la table de nuit.

Je retire mon jean et mon boxer avant de lui enlever son short.

Les jambes écartées, sa chatte me fait saliver.

- Je te gouterais plus tard lui dis-je.

- viens-tu vraiment de parler à ma...

- A ta chatte ? Ouais repondis-je le sourire aux lèvres.
Pas envie qu'elle pense que je la néglige.

Elle éclate de rire et je lui vole un baiser.

Je reprends la capote de sa main, l'ouvre et la place sur ma queue.
Je me couche à nouveau sur elle en relevant ses jambes entre mes coudes.

D'un ample coup de rein je la pénètre.

Merde !

- T'es encore plus serrée qu'une vierge lui dis-je en serrant les dents.

Je reste immobile mais cette peste se tortille sous moi.

- Arrête, laisse moi une minute lui dis-je.

Je commence à coulisser lentement en elle.
J'ai rapidement besoin de plus alors j'accélère.

Encore plus vite.

Toujours plus vite .

J'adopte un rythme frénétique voyant qu'elle encaisse avec plaisir.

Je bute à chaque fois au fond d'elle, la passion dévorante qu'elle provoque en moi rend mes coups de reins plus violent.

Le lit grince sous mes assauts, c'est encore plus excitant.

Bien trop vite je sens un fourmillement familier annonciateur de jouissance.
Je me redresse sur mes genoux, passe ses jambes sur mes épaules et me déchaîne en elle.
Elle crie, hurle et je prend un putain de pied.

Je serre les dents pour ne pas jouir avant elle mais je ne tiendrais pas longtemps.

Quand elle jouit enfin je la suis après quelques coups de reins.
La tête basculée en arrière je pousse un long crie en me déversant.

La respiration saccadée, j'embrasse  ses chevilles et pose ses jambes sur le lit.
Je me retire, enlève ma capote et la jette dans la petite poubelle après l'avoir nouée.

Je m'allonge sur le lit, tend le bras et la tire contre moi.