En ouvrant délicatement mes yeux je ne vis que le rien, le noir total, desider à inspecter la pièce même sombre, en tournant la tête je sentit une étrange douleur, intense qui se situait au niveau de ma tête, c'était comme si quelqu'un frappé dessus.
Essayant de rapprocher mes mains de ma tête par pur réflexe, mes mains se tirèrent en arrière toutes seul, plus j'essayais plus j'avais l'impression qu'elles se tiraient en arrière, j'ai essayé de nombreuses fois de les ramener vers moi, avant de me rendre compte qu'elles étaient attachés.
Attaché moi, pourquoi ? Comment?
Par qui ?, et surtout où suis-je ?, Des tas de questions défilèrent dans ma tête mais je ne trouvais aucune réponse sur ma situation actuelle, j'entendis des bruits de pas s'approcher de moi.Une lumière aveuglante s'installer dans toute la pièce, une lumière si aveuglante que je n'arrivais seulement à entrouvrir mes yeux, je pus entrevoir une silhouette s'approchant de moi tout en portant quelque chose dans ses mains.
Arrivé à mon chevet elle déposa un plateau à mes côtés avant de se rapprocher de moi me déposant délicatement ses lèvres douces sur les miennes, un doux baisser comme je n'en avais jamais eu, ce baisser était si bon que lorsque nos lèvres se sont séparés se fus d'une tel violence que je sentis quelque chose en moi ce brisser, puis en souriant elle se leva et partie.
Moi pleurant de joie tout en étant étonné de se que quelqu'un venait de me faire, je resta sans voix. Je ne repris mes esprits que lorsque que j'entendis la porte se fermer.
Je me suis levé sans me rendre compte que les lien qui me retenaient étaient détachés. Arrivé à la porte j'essayai tant bien que mal de l'ouvrir mais rien ne se passa, elle était bel et bien fermé à clé.
J'ai donc décidé de repartir m'asseoir à l'endroit où je mettais réveiller, un lit, assis dessus je passa ma main sur le côté heurtant quelque chose. Un plateau avec dessus une bouteille d'eau, un médicament contre le mal de tête, une assiette et se qui s'apparenter à du curri, et un mots où il était écrit "bien dormi, reprend vite des force sinon tu risque de ne pas tenir ".
Juste ça, j'ai décidé de ne pas m'affoler car sa ne serai qu'une perte de temps alors, je pris le médicament le mis dans ma bouche et l'avala avec un peu d'eau sans me soucier si il y avait quelque chose de dangereux dedant entendant mon ventre gargouiller je m'étais décidée à manger se qu'on m'avait préparé même s'il serai empoisonné.
Tout en mangeant j'essayai de me rappeler se qu'il c'était passer la nuit dernière, je n'arrivais qu'à seulement me souvenir de petits brides de mémoire, qui ne m'était d'aucune utilité pour savoir qui et pourquoi j'en étais arrivé à être kidnappée.
Moi: Kidnappée moi, je ne trouve toujours pas la raison pour laquelle quelqu'un voudrait en arriver là, surtout que ce n'est pas comme si je venais d'une famille aisé ou que j'étais une personne de la haute société.
Après avoir finie de manger je suis partie tapé à la porte en espérant que quelqu'un me réponde. Une heure passa et personne répondit, à tellement attendre devant la porte je m'étais endormie.
En me réveillant j'eus une extraordinaire surprise, la porte de la salle d'où j'étais enfermé était ouverte. Sans me retourner j'étais sortie de la pièce pour chercher la sortie, mais un petit problème s'imposer, j'étais dans un immense couloir où il y avait des dizaines et des dizaines de portes des deux côtés.
Je partis du côté gauche essayant de les ouvrir une par une, mais aucune d'entre elles ne voulaient s'ouvrir. Tout en essayant d'ouvrir les portes je continuai de marché pendant un temps qui le paresser Infini.
Arriver à la fin du couloir je vis une porte seul j'essayais de l'ouvrir elle aussi mais elle était aussi fermé.
Moi:Sérieusement aussi fermé...
au moment où je m'assis par terre j'entendis une voix sortie de nul part se moquer de moi tout en disant " Alors on est déjà fatigué, tu ne devrais pas, tu ne fait que de commencer t'as encore du chemin à faire".
Hurlant à la personne qui parlait de me dire où était la sortie, elle ne fessait que dès que j'ouvrais la bouche pour dire quelque chose.
j'ai recommencé à marcher en fessant le chemin inverse.Plus j'avançais plus je me sentais fatigué, mes forces commencé à m'abandonner petit à petit. Je pris plusieurs virages avant d'enfin pouvoir voir une porte qui pouvait être la sortie.
Arrivé près d'elle je vis un papier collé dessus, en dépliant pour lire se qu'il était inscrit dessus je pus voir " Enfin arriver je commençais à m'ennuyer "
Jetant le papier parterre, j'ouvris la porte énervé.Il fessait très sombre, je n'ai eu le temps de faire que quelques pas à l'intérieur, avant qu'un flash de lumière surgit de nul part soit dirigé tout droit vers moi pour m'éblouir.
Ébloui à cause la lumière je n'eus à peine le temps de rapprocher mes mains de mon visage. Que quelqu'un les pris en arrière les bloquant pour ne me laisser aucune possibilité de me défendre avec ainsi il pouvait me forçait à respirer l'air d'un bout de tissu imbiber d'une substance à l'odeur avec nauséabonde, qu'il m'avait collé sur le visage essayant de me débattre le plus possibles se qui n'eu aucune utilité et qui eu comme répercutions que l'étreinte qu'il posait sur moi se serra de plus en plus, je perdais mes forces au fur et à mesure que le temps passait, plus je tentais de me débarrasser de se qui me tenait moins j'avais de force pour continuer. Je n'ai pus tenir qu'une dizaines de secondes debout avant que tout mon corps ne répond pas au signaux que je m'efforçais de lui envoyer, mes forces m'avaient abandonné, mon corps tout entier ne me répondait plus, je ne pouvais plus voir mais sentir, je sentit mon corps tombé à terre puis traîner comme une vulgaire carpette pour enfin de plus rien voir et ne plus rien sentir.