quand j'ai vu ton corps je l'ai trouvé répugnant
tes courbes dégoulinaient l'espoir fané
et l'amour déchule corps laid de n'avoir jamais été aimé
tes larmes le rendait répugnantton corps était tombé dans la peinture du ciel
et ton âme n'était qu'ecchymosesles cicatrices qui slalomaient à travers les blessures de ton corps ne disparaîtraient jamais
ton corps était voué à être repoussantmais moi seule la beauté que tu ne possédais pas me repoussait
j'ai aimé ta laideur avec folie
j'ai aimé ta laideur d'une façon dont on ne peut pas aimer la beauté
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le feu de tes entrailles
Poetry« idaline, j'ai tant aimé ta laideur cristalline » | juin deux mille vingt |