quand j'ai aimé ton cœur je l'ai trouvé détestable
il me murmurait des maux doux au creux de l'oreille
me susurrant que l'amour pleuvait sur nousdeux corps entassés dans un monde sale
la beauté égorgée au fond d'une cave sombrel'amour et la jouissance se fondaient dans tes démons de soie
tu me déboussolais et ta laideur me transperçait le cœur telle une flèche de cupidondans la nuit de ton âme, les flammes brûlait tes entrailles
tes poumons se noyaient dans un torrent abyssal
et ton cœur ne savait plus battreje me suis promis de lui réapprendre
parce que la laideur a le droit d'aimer
VOUS LISEZ
le feu de tes entrailles
Poetry« idaline, j'ai tant aimé ta laideur cristalline » | juin deux mille vingt |