1. laissez moi me faire plaisir❓

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Mes parents comptent faire les courses du week-end ,J'encourage ma grande soeur de les suivre parce qu'ils se  trompaient à chaque fois ,sur mon céréale préféré.

Une autre cause me poussait à les voir partir plutôt que prévue : j'étais en manque de sex à la rigueur en ayant la chambre pour moi toute seule , j'exécuterais tous mes désirs les plus obscurs par une douce masturbation solitaire ; les jouets érotiques étaient déjà cachés au dessus de mon lit.

Avant même que ma soeur n'eut le temps de finir de coiffer ses cheveux indomptables, j'entamais à caresser mon clitoris ,intérieurement mes tripes bouillonnait , les poils me piquèrent en grinçant comme des grains de pluie sur des toits dru ce qui me provoqua un léger gémissement. Je frottais de plus en plus fort .

Les pas pressés de ma soeur m' excitait encore plus , j'enlève rapidement mes doigts et je léchais ma semence, je fus aux anges du goût salé aigre qui me restait sous la langue.

« Tu manges quoi comme ça ?»

« de la crème que j'ai préparé à l'instant, tu en veux? Il en reste au frigo»

«Non sans façon, papa est déjà dans la voiture, il m'attend depuis une éternité bye»

Le "tchao" que je lui renvoyais était un soupir de satisfaction.

Afin de savourer chaque seconde de sorte qu'il reste gravé , comme l'un des meilleurs moments où j'ai pu me donner un orgasme en un temps record, je consultais quelques sites pornographiques révolutionnaires, il n'y en avait pour tous les goûts de toute forme de toute taille . Je sentais les regards lancés des nymphes vicieuses peser sur mon corps. J'idéalisais les fantasmes malsains et novateurs toutefois tous cela devait se réalisé dans un cadre respectueux sans nuire au consentement et à la volonté d'autrui.

Mon impatience fut prompt bien entendu j'augmentais le volume les cris aigus des femmes m'émoustillais, la timidité prit la fuite et laissa place à une Bête Sexuelle qui souhaitait assouvir ses envies, par l'interception d'un déodorant en l'entrant sans ménagement dans mon vagin. Une symbiose entre mon esprit et ma féminité s'interconnectait, un effluve d'apothéose s'en émanait.

"Oh oui hmmm c'est bonnn"

Je criais des obscénités au doigt mouillé j'imaginais qu'une vraie membre était à l'intérieur de moi.

"Oh oui bébé plus fortttt déchire-la"

Je minaudais les moindres mouvements de l'actrice qui était à califourchon en malmenant rudement son partenaire, sa poitrine était ferme et souffletait frénétiquement le visage de l'homme qui la triturait avec délicatesse 👅. Elle allait bientôt atteindre son orgasme tant désirée, je me tapotais les fesses et ne laissa aucune parcelle de ma peau sans être cajoler de caresses. J'entrepris d'enlever le  déodorant et de le sucer comme une glace à la vanille , pendant que mes doigts relayaient ses vas et viens l'agitation fut houleuse, la couverture du lit était complètement retrempé tous ses soucis d'aléas m'importaient peu , j' humectais un peu plus mon intimité .

Un rire convulsif me délecta à petit feu. Spirituellement je quittais l'enceinte des quatre murs qui bétonnait mon irréel dont l'ultime regard que j'accordais au miroir projetait une chenille qui se métamorphose en papillon. J'étais ce papillon et j'empuantissais de phéromones.

«sale chienne» lança estomaqué ma soeur

Je me suis faites griller précisément à l'entente de ces insultes, un gros et incomparable orgasme frappa à ma porte , j'ouvris sereinement à ce cher invité chaleureux et on partit dans un monde indescriptible où je lui fis visiter le plus profond de mon être.

«Mais tu n'as pas honte dévergonder,tu n'as même pas prit la peine de te faire discrète » acerbe

«je ne vais pas débattre sur ma vie sexuelle , on est JUSTE soeur mais remettons les pendules à l'heure!!! C'est mon corps, mes choix, mes décisions»

L'heure du diner

«les filles descendez le repas 🥘 est prêt » informa leur mère

Évidemment je n'avais pas faim , je me sentais sale ,trahie. J'avais perdu toute estime. Je ne souhaites en aucun cas heurter les moeurs de cette famille honorable, ma réputation reposait sur la sagesse, depuis mon enfance j'oeuvrais d'arrache-pied de manière à ce que mes bonnes actes fleurissent au sein de mon entourage et qu'une circulation d'énergie harmonieuse s'en dégage, autrement dit à ce stade je broyais du noir et commençais à avoir foi aux paroles prononcées par ma détractrice .

«chérie tu ne viens pas manger?»

«Non je ne vois pas l'utilité de descendre puisque je n'ai pas faim»

«Qu'est ce que tu racontes encore🤔. Viens! . Au moins tu te changeras les idées »

Je décide malgré moi de suivre mon papounet , il sait comment me convaincre , ma soeur m'attendait de pied ferme prête à déballer à qui veut l'entendre des révélations qui pourront me porter préjudice.

«Tiens ma cuillère essaie la peut-être qu'elle t'apportera de nouvelles sensations » d'un regard défiant
Je fondis en larme en enfouissant mon visage dans
dans mon pull-over

«Qu'est ce que tu nous chantes encore Josephine ?laisse ta pauvre soeur en dehors de tes histoires absurdes»

«ok et si je vous dit que je l'ai surpris toute nue , entrain de se caresser le minou. Alors vous en dites quoi? ALLEZ PARLE DIT LEUR CE QUE TU ÉTAIS ENTRAIN DE FAIRE» s'énerve t-elle

Un silence de plomb refroidit les assiettes , un trou noir assombrit la vision de nos rétines.

Mais au final ma mère se leva  et me redora le blason «Vaux mieux milles masturbations que d'offrir son coeur à un connard, c'est une femme qui a des désirs où est donc le problème?»

La honte me quitta à la hâte et emplit l'âme de ma soeur qui s'est tut immédiatement et à jamais.

Harcèlement insoupçonné Où les histoires vivent. Découvrez maintenant