8. Un patron qui en demande trop fin

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Je pris un ruban et l'attacha ,autour de ses yeux dans le même mouvement de domination je lui menottais ses deux bras mains poilus.

«C'est un jeu érotique, que j'aimerais expérimenter avec monsieur Gérald » d'une voix sensuelle

Je lui enlevais ses vêtements, il bandait déjà , je craquais face à ce gros pervers , il n'était pas question de faire machine arrière , je fis signe aux filles de commencer la dance , on induit son corps d'huile de bébé et elles commencèrent les caresses à contre-coeur.

«Vas y mon ange monte sur cette b***, tu graviras les échelons dans mon entreprise , 5000€ net si tu me s*ce comme je l'aime 😍 »

Je lui mis une droite

« Calme toi🤫 ça fait partir du jeu assieds toi correctement à l'heure du fouettage à sonner »me vengeais-je

On lui roua de coup le rival luttait de tous ses forces, la mort guettait son dernier trépas, son souffle se faisait de plus en plus lourd . L'opposition se heurtait aux membres qui lui faisait croire à une quelconque suprématie patronale . L'affrontement décroît au moment où il a présenté ses excuses plutôt faible à mon goût.  J'avais pitié de luis je fis usage de mon coeur pour le laisser partir ,cependant tous nu sans nul doute on ne devait s'abuser de ma patience.

                              Le lendemain

Monsieur Gerald arriva dans les locos, le visage ensanglanté , ses aisselles empestaient une odeur nauséabonde, il s'emporta avec la sécurité qui lui refusait l'accès croyant que c'était un dangereux individu. Intérieurement je me réjouissais de le voir au plus bas , son sort était entre mes mains , je pourrai faire appel aux forces de l'ordre mais je n'étais pas prête à me confronter aux longues procédures. Ce serait ma parole contre la sienne.

Toutefois la justice ne se penche pas toujours en faveur des femmes . Il se dirigea vers moi armé d'un pistolet , je n'ébranlais pas d'une once car toute les femmes de l'entreprise me couvraient comme un bouclier et elles lui tenaient tête.

"Gros porc tire si tu es un homme »lançait l'une d'entre elle

"Monsieur Gerald si vous tentez quoique ce soit contre moi, ou ces personnes ici présents , Je diffuserais sans aucun remord une vidéo comprenante où l'on voit complètement nus, les yeux bandés  entrain de se masturber autour d'une dizaine d'escorte girls qu'en dites-vous ?"

"Vous ne  me croyez pas?"

Je pressais le bouton de la télécommande, il ne manquais que le popcorn, son visage se pétrit, j'entendis le cliquetis de la gâchette résonné BOOM, je me retournais monsieur Gerald venait se suicider.

Paix à son âme

Harcèlement insoupçonné Où les histoires vivent. Découvrez maintenant