CHAPITRE 8
Leurs repas finis, ils attendaient leurs cafés. Léane en profita pour se lever et se rendre aux toilettes. Eric attendit qu'elle soit entrée puis la suivit, il entra et ferma la porte à clé. Léane était en train d'arranger ses cheveux, il se colla à elle frottant son bassin contre ses fesses. La jeune femme lui sourit à travers le miroir. Puis il commença à l'embrasser sur la nuque, alternant avec des petits mordillements. Léane gémit, son intimité commença à s'humidifier. Mais son directeur n'en avait pas fini, il déboutonna son corsage, caressa ses seins tout en continuant d'embrasser et de suçoter son cou. Léane se cambrait sous les caresses et sentait le sexe dur d'Eric frotter contre ses fesses.
Les mains de son amant descendirent vers sa croupe tendue, et elles remontèrent sa jupe. Ses doigts explorèrent son intimité ruisselante. Léane poussait des gémissements de plaisir et d'impatience.
- On dirait que la patience n'est pas ton fort, lui murmura son amant à l'oreille
Elle grogna et poussa ses fesses contre le bassin d'Eric. Il sortit son sexe bandé et le glissa le long de sa fente trempé. Elle était pantelante, dans l'attente d'être enfin pénétrée. Puis, lentement il glissa son membre au fond de son vagin. Elle poussa un soupir de bien-être, qui fut rapidement remplacé par des gémissements. Le directeur la poussa en avant et accéléra ses coups de butoir, il grognait, ses testicules tapaient contre les fesses de la jeune femme qui poussait désormais des cris de plaisir. Il la lima de nombreuses minutes, lui offrant plusieurs orgasmes. Puis, il se déversa en elle avec un grognement.
Ils se rajustèrent en se souriant, sortirent l'un après l'autre. Eric paya l'addition et ils quittèrent le petit restaurant en saluant le patron.
Léane marchait près du directeur sans oser lui prendre la main, elle ne savait pas s'il voulait que leur relation soit visible publiquement et se sentait un peu gênée. Mais d'un coup, Eric se saisit de sa main et lui déposa un baiser, il garda sa main dans la sienne jusqu'à la voiture. Ce petit geste rassura énormément la jeune femme. Elle ne pouvait s'empêcher de sourire même une fois assise sur son siège.
- Qu'est ce qui peut bien te faire sourire ? questionna Eric
- Tout, je me sens si bien avec toi. Lui répondit-elle en le regardant malicieusement dans les yeux.
- Moi aussi et si nos sorties au restau sont aussi épicées que celle-ci, je vais t'inviter tous les jours !
- Je ne dirais pas non à un tel traitement cher patron, rit-elle
Ils arrivèrent rapidement devant le magasin. Léane ne savait pas comment se comporter avec Eric sur son lieu de travail. Ils entrèrent ensemble côte à côte.
- Léane, tu travailleras en binôme avec Béatrice aujourd'hui à la caisse, ok ?
- Bien sûr ! Elle répondit en se dirigeant vers les vestiaires pour déposer son sac et sa veste.
Dans le petit local, Sophie la salua froidement. Léane répondit rapidement à son bonjour, posa ses affaires et ferma son casier.
- Tu as été bien rapide pour mettre le grappin sur le boss ! Dit Sophie d'un ton accusateur.
- Je n'ai mis le grappin sur personne. Eric et moi sommes deux adultes qui entretenons une relation, c'est tout ! Répondit doucement Léane en espérant la calmer
- Une relation, hein ? Tiens donc ! Et quand tu t'es fait culbutée par l'adjoint ou par leur grand ami, tu appelais ça comment ?
- C'était uniquement du sexe... Et je n'ai fait qu'obéir, comme toi !
- Pas comme moi puisque le boss veut te garder pour lui seul, comment tu expliques ça ?
- Je ne l'explique pas, il veut essayer une relation exclusive avec moi, c'est tout.
- Non ce n'est pas tout ! Ca fait trois ans que je me fais baiser par les deux boss et par des vieux pour mon boulot. Je supportais car le directeur est un canon, et grâce à toi il ne me reste que les vieux pervers ! Merci du cadeau !
- Ecoute Sophie, je n'ai pas envie de me disputer avec toi. Essaie de me comprendre, j'ai des sentiments pour Eric, ce n'est pas que du sexe. Je ne peux pas savoir comment notre relation évoluera, mais je ne maîtrise pas mes sentiments. Je comprends ton point de vue, mais essaie de me comprendre s'il te plaît.
- Pour l'instant j'ai un peu de mal ! Mais ne t'inquiète pas, je ne suis pas du genre à planter un coup de couteau dans le dos des gens, et c'est d'ailleurs pour cette raison que je préfère t'en parler ouvertement.
- Merci... Que veux-tu dire par là ?
- Rien, je ne suis pas une balance... Méfie-toi c'est tout !
- Merci pour la mise en garde Sophie.
- De rien, je file, à plus ! Termina la jeune blonde.
Léane rejoignit Béatrice à la caisse et l'après-midi passa rapidement. Elle put observer combien M. Martin était intrusif dans le travail des filles. Il était toujours derrière l'une d'elle, surveillant leur travail, faisant des attouchements en plein magasin ou exigeant des faveurs sexuelles dans la réserve.
Martine était la seule qui n'était pas importunée, par contre Sarah et Sophie l'avaient constamment sur le dos. Béatrice était plus discrète et M. Martin ne faisait aucun geste déplacé avec elle. Léane savait qu'à l'occasion, elle pouvait répondre aux avances du directeur adjoint mais elle n'en avait pas été témoin.
Béatrice et elle fermèrent le magasin avec M. Martin, Léane n'avait pas aperçu Eric de l'après-midi. Elle était un peu déçue mais n'en laissa rien paraître. Elle monta dans sa petite voiture et rentra chez elle.
VOUS LISEZ
Léane, une vendeuse bien obéissante
General FictionCette histoire a déjà été publiée puis supprimée. Je choisis de reposter les aventures de Léane, une jeune vendeuse embauchée pour d'autres compétences que celles inscrites sur son CV. Cette fiction contient de nombreuses scènes à caractère sexuel. ...