CHAPITRE 3
La fin d'après-midi arriva très vite, Léane finissaient les étagères du bas en se contorsionnant pour cacher son intimité ou ses bas. M. Soriano passa, l'observa en silence.
- Léane ! Cessez de vous tortiller ! Vous vous baisserez soit accroupie, soit penchée en avant dorénavant ! ordonna t il
- Bien Monsieur lui répondit elle en se relavant et en se penchant vers l'avant. Sa robe dévoila le haut de ses bas.
Le directeur se colla contre ses fesses, parcourut ses cuisses de ses mains en passant sous sa robe. Il continua jusqu'aux fesses et passa ses doigts de l'anus à la fente humide de la vendeuse. Il introduisit un doigt et appuya sur le clitoris, qu'il commença à exciter entre ses doigts. Léane sentait sa cyprine couler de long de ses jambes, mais il continuait, encouragé par les soupirs de la vendeuses. Quand elle fut proche de la jouissance, il enleva ses mains.
- Bien accessible ! Je vous ai déjà donné 2 orgasmes. Ca sera tout pour aujourd'hui ! dit il
- Monsieur, je suis mouillée, et les clients vont le voir ! Puis-je aller m'essuyer ? Demanda doucement Léane
- Non, par contre, vous avez raison, c'est bien visible ! Changez de rayon et allez au rayon des hommes, il devrait y avoir des clients qui seront contents. Et gardez les positions imposées pour travailler s'il vous plait.
Il retourna à son bureau, laissant la jeune femme frustrée. Elle arriva dans le rayon des hommes, plusieurs vêtements étaient tombés au sol, et elle fut obligée de les ramasser pour les remettre sur les portiques. Elle aperçut que M. Martin la scrutait du rayon voisin. Lorsqu'elle ramassa un énième tee shirt elle sentit une main caresser ses fesses et passer sous sa robe. Elle tourna la tête et vit un homme d'environ soixante ans, qui lui souriait d'un air lubrique. Elle essaya de s'en aller, M. Martin arriva à ce moment et se planta devant elle. Il se pencha à son oreille
- Vous ne devez pas refuser les caresses des clients, on ne vous demande pas de coucher avec pour l'instant, donc laisser le faire. Si ça va trop loin, nous interviendront, lui murmura t il à son oreille, et avant de tourner les talons il fit tomber une pile de tee-shirt au sol.
Léane se repencha en avant pour réparer les dégâts, le client se remit derrière elle et cette fois il mit directement sa main sous la robe. Il caressa ses fesses à pleines mains, les pétrit, puis passa ses gros doigts sur la raie de ses fesses. La vendeuse soupira. Encouragé par son absence de réaction, il commença à caresser sa fente humide, il commença à masser son clitoris vigoureusement, et la vendeuse oublia qu'il s'agissait d'un vieil homme grassouillet, elle se laissa aller à son plaisir, avançant son bassin à l'encontre des doigts inquisiteurs. Le client entra 3 doigts dans le vagin trempé de Léane en continuant les impitoyables caresses sur son clitoris gonflé de plaisir. Soudain elle sentit cette vague désormais familière l'envahir, et elle jouit bruyamment sur les mains du vieil homme, inondant ses gros doigts de sa liqueur. Le client retira ses doigts, et les lécha avec gourmandise.
- Merci mademoiselle, à mon âge je n'ai plus le loisir de faire jouir une femme tous les jours. Et quel nectar, votre jus ! Et il lui tendit un billet de 20 euros, qu'elle accepta après qu'il ait insisté plusieurs fois.
Léane ne recroisa pas les patrons et finit sa journée normalement, même si elle fut reluquée et pelotée jusqu'à la fermeture.
Elle se dirigea vers les vestiaires pour récupérer ses affaires, les autres vendeuses étaient déjà parties. Soudain elle sentit quelqu'un se coller derrière elle, 2 mains se posèrent sur ses hanches puis son buste fut poussé en avant, les fesses tendues vers l'arrière. Elle était partagée entre la peur et l'excitation, mais ne bougea pas. Sa robe fut remontée jusqu'à la taille, l'homme derrière elle, se frottait contre ses fesses, elle sentait son érection à travers le tissu de son pantalon. Il posa ses doigts sur le clitoris de Léane et se mit à le caresser fortement, la jeune femme sentait de nouveau son intimité qui s'humidifier, elle entendit un zip d'une fermeture éclair et sentit un gland chaud contre ses lèvres. Elle retint sa respiration, il frotta son sexe le long de la fente de la vendeuse puis poussa son gland contre son intimité, il entra lentement son membre au fond de son vagin. Puis il resta logé au fond de son intimité, sans bouger. Léane gémissait, elle attendait qu'il veuille bien se mouvoir, mais l'homme restait immobile, elle voulut se caresser le clitoris, mais il lui saisit les poignets d'une main et les positionna au dessus de sa tête. Elle soupira de frustration et d'un coup il lui pinça le clitoris de son autre main, elle cria de surprise et de douleur. Il stoppa de nouveau tout mouvement.
Léane, frustrée, cria
- Allez-y !
Là, une claque monumentale s'écrasa sur sa fesse, elle cria, puis elle comprit
- Monsieur, s'il vous plaît ! dit elle, suppliante
- C'est bien ! Tu es une bonne chienne et tu vas le dire que tu es une chienne, un vide couille et que tu me supplies de te baiser comme la salope que tu es ! Vas-y ! Ordonna M. Martin
- Monsieur, je suis votre chienne et votre vide couille, baisez moi comme la salope que je suis s'il vous plaît ! répéta t elle
Et là le directeur adjoint lui attrapa les hanches, retira le membre du vagin trempé de Léane puis d'un coup de rein y entra jusqu'à la garde. Il la pilonna ainsi en faisant taper ses couilles sur les fesses de la jeune femme en transe. Elle sentait ses jambes trembler, elle n'allait pas pouvoir tenir, pourtant elle ne voulait pas que ça s'arrête.
M. Martin s'en aperçut, il se retira, poussa Léane vers la table, il aplatit le buste de la jeune femme sur la table, attrapa de nouveau ses hanches et reprit sa cavalcade infernale. Léane criait, elle enchainait les orgasmes, et le rythme ne faiblissait pas. Son supérieur la limait à fond, ses mains étaient enfoncées dans la peau blanche de la jeune femme. Soudain il poussa un gros râle, et elle sentit sa verge se contracter dans son intimité, il déversait sa semence en elle, sortit son membre, et finit d'éjaculer sur ses fesses. Il essuya sa verge sur la robe de la vendeuse et se rhabilla.
- demain, c'est un grand jour, vous viendrez avec une jupe qui devra cacher uniquement vos fesses, et un haut blanc moulant transparent. Vous porterez des bas, qui seront visibles car la jupe ne les couvrira pas. Je ne veux pas de soutien gorge. Je veux aussi des talons d'au moins 10 centimètres. Pour venir au magasin vous pourrez mettre une veste longue dessus. Vous porterez soit ce string, soit rien. Lui dit-il en lui tendant un minuscule bout de tissu. Le sous vêtement semblait être plus un cache sexe qu'un string.
Deuxièmement, vous avez passé une grosse journée, donc vos horaires demain seront : 11h30-13h et 15h30-19h30. Vous pouvez disposer ! Annonça M. Martin
- Bien Monsieur, répondis Léane.
Le magasin fermé, elle put enfin rentrer chez elle. Le lendemain, elle allait pouvoir récupérer un peu, bien qu'elle soit obligée d'aller acheter une micro jupe et des talons très hauts.
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Léane, une vendeuse bien obéissante
Fiksi UmumCette histoire a déjà été publiée puis supprimée. Je choisis de reposter les aventures de Léane, une jeune vendeuse embauchée pour d'autres compétences que celles inscrites sur son CV. Cette fiction contient de nombreuses scènes à caractère sexuel. ...