Chapitre 5

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CHAPITRE 5

Lorsqu'elle entra en salle de pause, il y avait M. Soriano, Béatrice et Sarah en train de finir leurs repas. Le directeur remarqua le tee-shirt trempé de Léane mais ne fit aucun commentaire, il lui adressa même un sourire en coin. Sarah et Béatrice débarrassèrent et sortirent rapidement. Léane croqua dans son sandwich sous le regard amusé du directeur.

- Sandwich au saucisson ? J'avoue qu'il est surprenant de voir une jeune femme manger autre chose que de la salade, dit-il en plaisantant

- Suis-je comme toutes les autres jeunes femmes, lui répondit Léane rieuse

- Oh non, j'en conviens. Entre les éloges de mon adjoint et celles d'un de nos client, il n'y a pas 5 minutes, je dois dire que vous êtes surprenante, lui dit il en la regardant sincèrement.

Léane le regarda surprise par ses éloges. Elle ne sut quoi répondre, car en réalité, si elle voulait autant satisfaire les autres hommes, c'était pour lui plaire à lui.

- Votre satisfaction est ma priorité, Monsieur. Si le fait de combler d'autres hommes vous agrée, je leur obéirai sans problème

Cette fois ci ce fut M. Soriano qui fut surpris, mais il n'en laissa presque rien paraitre.

Il se leva, et s'approcha de la jeune femme. Celle-ci n'eut plus faim de nourriture, elle avait envie de lui au point d'en avoir presque mal. Il la fixa dans les yeux et s'approcha d'elle, puis il posa ses lèvres sur les siennes doucement avec sensualité, leurs langues se trouvèrent et se mêlèrent. Il lui tenait fermement la nuque pour approfondir leur baiser. Le directeur caressa les seins qui pointaient puis il demanda de se mettre entièrement nue. Elle s'exécuta, il se déshabilla aussi, puis reprit ses caresses sur la poitrine de la vendeuse. Il suçota ses tétons puis ses mains descendirent vers ses fesses, puis sur son intimité mouillée.

Il l'allongea sur le sol et s'allongea à côté d'elle, il se mit à lécher son sexe dégoulinant, en aspirant son clitoris. Léane pris alors son sexe en bouche, léchant et aspirant la verge en érection. Ils gémissaient, râlaient et s'approchaient de la jouissance. Puis, le directeur se releva et se positionna au dessus de Léane, il enfonça doucement son sexe en elle. Elle gémissait de plaisir, ce qui l'encouragea à accélérer ses vas et viens, ils s'embrassaient à pleine bouche et étaient en sueur. M. Soriano voulait changer de position et s'allongea à plat dos sur le sol, il attrapa Léane et l'empala sur son sexe dressé. Elle était au bord de l'orgasme, ses seins tressautaient au rythme des coups de rein. Elle poussait de petits cris, et tentait de les étouffer en mordant sa lèvre. Le directeur lui titilla le clitoris puis introduisit un doigt dans l'anus de la jeune femme qui atteignit l'orgasme en criant. Elle tremblait, le regardant avec adoration, doucement il se retira d'elle et lui demanda de le prendre en bouche. Elle lécha le membre de son supérieur qui était trempé de sa cyprine, elle suça et pompa en le regardant dans les yeux, rien n'était plus important pour elle à ce moment que de lui faire plaisir et le faire jouir. Puis il se déversa dans sa bouche. Elle avala toute sa semence, et nettoya sa verge avec sa langue. Il lui caressa le visage et la remercia avant de se rhabiller, elle fit de même. Alors qu'elle se dirigeait vers le magasin, il lui demanda de rentrer chez elle et de se reposer jusqu'au lendemain. Elle le remercia et s'en alla vers les vestiaires.

Elle récupéra ses affaires, et ouvrit son portable. Elle avait un message de M. Soriano « Demain, vous remettrez une tenue plus conventionnelle. Pantalon ou collant déconseillés. Talons et lingerie sexy recommandés. Bonne soirée Léane. »

Elle enfila son long gilet et quitta le magasin en direction de sa voiture. Soudain elle entendit siffler, elle essaya d'accélérer le pas, mais c'était peine perdue avec ses talons vertigineux.

Un homme d'une quarantaine d'années, se planta devant elle. Il n'était pas très grand, de type asiatique, il avait un regard lubrique.

- Voilà la toute belle qui se faisait doigter par un vieux dans le magasin ! Pourquoi tu te planques sous un gilet ?! Retire-moi ça ou je l'arrache ! Lui dit-il avec un air salace.

- S'il vous plaît, monsieur, c'est mon patron qui m'avait obligée.

- Il a bon goût ! ricana-t-il

Enlève ce gilet ou je m'en charge ! Tu ne voudrais pas te faire prendre comme une chienne en chaleur au milieu du parking ?

Léane prit peur et s'exécuta. Il s'approcha alors d'elle, la saisit par les cheveux et l'embrassa, forçant sa bouche avec sa langue. Puis il lui malaxa les seins par-dessus son débardeur. Voyant qu'elle se laissait faire, il l'attira près d'une camionnette blanche, et la fit monter à l'intérieur.

La camionnette était pleine de vêtements, il la poussa sans ménagement

- Je te laisserai partir, si tu fais tout ce que je te dis sans rechigner, c'est clair ?

- Oui, murmura Léane

- Bonne chienne ! Enlève ce haut et suce-moi !

Léane obéit et s'accroupit devant l'homme. Celui-ci tenait son smartphone face à elle. Elle se saisit de son membre dressé et le mit dans sa bouche. Elle commença à le lécher, puis l'aspirer. Il râlait, puis lui saisit la tête et se mit à lui baiser la bouche, cognant sa verge au fond de la gorge de la jeune femme, qui avait des hauts le cœur et dont la bave coulait le long de son menton et de son cou. Son agresseur faisait des gros plans. Puis il se retira, fit mettre la jeune vendeuse à quatre pattes, il lui enfonça 2 doigts dans le vagin, la lima quelques minutes, ce qui fit gémir la jeune femme.

- Tu aimes ça, chienne ? Tu veux ma queue, hein ?! Dis-le salope !

- Baisez-moi s'il vous plaît, je veux votre queue. Répondis Léane haletante.

Le chinois l'attrapa par les hanches et la pénétra jusqu'à la garde d'un seul coup, la jeune femme poussa un cri. Il commença à la pilonner fortement, en lui mettant quelques claques sur les fesses et en l'insultant de chienne en chaleur. Ses testicules tapaient contre les fesses de Léane qui gémissait, ses coups de reins étaient rapides et brutaux. La jeune femme commençait à ressentir le plaisir monter, mais l'homme poussa un râle et se vida en elle la laissant sur sa faim.

- Tu étais trop bonne, je ne pouvais plus attendre, mais je ne m'inquiète pas, tu trouveras une autre bite pour te remplir ! Ramasse tes affaires et casse-toi, je n'ai plus besoin de toi !

Léane s'exécuta, frustrée et blessée que l'homme se soit juste servi d'elle comme d'un réceptacle à sperme. Mais quand elle réfléchit, elle se dit que c'était ce qu'elle faisait toute la journée, la seule différence est que cette fois c'était qu'elle n'y avait rien gagné.

Elle regagna enfin sa voiture et rentra chez elle, épuisée.

Léane, une vendeuse bien obéissanteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant