nos corps se percutaient sans cesse, faisant tanguer nos pensées fragiles et nos âmes suicidaires. peut-être un peu suicidée déjà. l'amour n'était qu'une vice sans fin dans lequel on se noyait inlassablement. la puissance de nos sentiments incompris nous jettait dans le fossé. on s'est sûrement aimées bien trop fort
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bouteilles cassées
Storie breviune alcoolique anonyme dans l'ivresse de ton corps | juin deux mille vingt |