Laughing Jack

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Laughing Jack (Jack qui rit) est un clown monochrome. Au départ gentil, il se retrouvé abandonné et devient un tueur torturant ses victimes jusqu'à ce que mort s'en suive. Il «vit» dans une boîte à musique et quand l'on tourne la manivelle, la chanson Pop Goes The Weasel retentit.

Creepypasta:

Avertissement: Ces deux creepypasta sont gores alors si vous êtes sensible, ne lisez pas.

Il existe deux creepypasta au sujet de Laughing Jack. La première raconte le recit d'une jeune mère célibataire qui découvre que son fils, James, a un ami imaginaire sauf que le copain imaginaire, il est pas si fictif que cela en vérité et elle va l'apprendre de la manière la plus horrible qui soit. La seconde retrace les origines de Laughing Jack. On apprend qu'au départ, il avait été crée pour tenir compagnie à un jeune garçon du nom d'Issac mais qu'il avait fini par être abandonnée dans sa boite par la suite avant d'en sortir et de tuer Isaac plusieurs années plus tard.

Creepypasta Laughing Jack:

C'était un beau jour d'été. Mon fils de 5 ans, James, jouait dehors derrière notre maison de banlieue. James a toujours été un garçon très calme, il n'a jamais eu beaucoup d'amis, mais il avait une grande imagination. J'étais dans la cuisine en train de nourrir notre chien Fido, quand j'ai cru entendre James parler à quelqu'un derrière la maison. Je ne savais pas à qui il pouvait parler, s'était-il finalement fait un ami ? Être une mère célibataire est une chose difficile pour moi, surtout de garder un œil sur mon fils, ainsi je me rendis dehors pour le voir.

Quand je me rendis dans l'arrière-cour, je fus un peu confuse, James était la seule personne à être là. Se parlait-il à lui-même ? J'étais pourtant sûre d'avoir entendue une autre voix. "James, il est temps de rentrer", ai-je crié.

Il rentra immédiatement à l'intérieur et s'assit à la table de la cuisine. Il était environ midi, quand je me décidai à lui faire un sandwich à la dinde. "James, à qui tu parlais tout à l'heure ?" Je lui demandai. James leva les yeux pendant un moment, puis il me dit en souriant: "Je jouais avec mon nouvel ami". Je lui servis un peu de lait et continuai à le questionner, comme toute bonne mère: " Ton nouvel ami a un nom ? Pourquoi ne lui as-tu pas demandé de manger avec nous ?". James me regarda un moment avent de répondre: "Son nom c'est Jack qui rit". Je fus un peu étonnée par ce qu'il avait dit. " Oh? C'est un nom plutôt étrange, à quoi ton ami ressemble ?" lui demandai-je, un peu confuse. "C'est un clown... Il a les cheveux longs, un grand tourbillon et un nez pointu... Il a de longs bras, un pantalon bouffant avec des chaussettes rayées, mais surtout.... Il sourit toujours". J'ai réalisé que mon fils parlait d'un ami imaginaire. Je suppose que c'est normal que les enfants de son âge aient des amis imaginaires, surtout quand ils n'ont pas d'amis. C'est probablement juste une phase.

Le reste de la journée se passa comme d'habitude, et il commençait à se faire tard quand je me décidais enfin à mettre James au lit. Je le posai, lui donnai un baiser, et allumai sa veilleuse avant de fermer la porte. J'étais assez fatiguée pour ma part, et je me décidais à aller au lit quand, peu de temps après, je fis un horrible cauchemar ...

Il faisait sombre. J'étais dans une sorte de parc d'attractions délabré. J'avais peur, je courais à travers un champ infini de tentes vides, manèges cassés, et arcades abandonnées. L'endroit était horrible à regarder. Tout était noir et blanc, des animaux en peluche tous suspendus à des nœuds dans les huttes de jeu, tous avec des sourires malades cousus sur leurs visages. C'était comme si l'ensemble du parc me regardait, même s'il n'y avait rien d'autre de vivant en vue. Puis, soudain, j'ai commencé à entendre jouer de la musique. Les sons de Pop Goes the Weasel qui se jouaient sur un Squeezebox à travers le parc, c'était hypnotisant. J'ai suivi le son jusqu'à la tente de cirque, presque en transe, incapable d'arrêter mes jambes. Il faisait nuit noire, la seule lumière provenait d'un unique spot lumineux sur le centre du chapiteau. Alors que je marchais vers la lumière, la musique ralentit, je me suis retrouvée à chanter, incapable de m'arrêter.

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