Fuck Me Very Much

Pauline

A dix sept ans, Pauline était une jeune fille brune avec des cheveux couleur caramel qui lui arrivaient sous la poitrine. Celle-ci était plutôt généreuse. Son ventre plat était suivi de cuisses presque trop fine. Ses yeux étaient bruns, elle avait un long nez droit et une bouche pulpeuse.

N'allez pas croire que cette fille était parfaite, loin de là, elle avait aussi ses complexes. Par exemple: Son nez. Elle détestait son nez qu'elle trouvait bien trop grand. De même pour ses fesses qu'elle trouvait trop plates. Elle avait d'ailleurs prévu de passer par la chiurgie esthétique à sa majorité.

PDV Pauline

Après que le réveil ait sonné, je me levai pour me préparer à aller au lycée. Je découvrit mon tube de rouge à lèvres en morceau sur mon tapis qui lui, était plein de tâches. Étrange... 

Je choisis aujourd'hui de mettre comme vêtements un simple crop top blanc à manche longue écrit "Fuck You" en noir dessus. Avec ça, je mis mon pantalon slim noir avec mes bottines à talon haut, noires également. 

Mon plus petit chien, appelé Scraffy entra dans la pièce avec du rouge partout autour de babines. J'ai résolu le mystère, Scraffy a mangé mon rouge à lèvres. J'aurais plus qu'à m'en racheter un ! 

Je me baissai vers lui et le caressais en le sermonnant et en lui faisant des bisous. Autant vous dire que je n'étais pas très crédible, mais j'y peut rien, je l'aime trop ce chien !

Jappliquais un épais trait d'eye liner et mit du gloss en attendant de m'acheter un nouveau rouge à lèvres. J'en avait d'autres, bien sur, mais ils ne correspondaient pas avec mon humeur du jour.

Arrivée devant la salle de mon premier cours, je fis la bise à presque tout le monde (à quelques exceptions près). En cours, je suis une élève très attentive. Je lève la main le plus souvent possible. Je vous avoue qu'il y a plusieurs raisons à ça. La première, ça compte pour la note de participation orale. La deuxième, ça permet de se faire remarquer. La troisième, c'est sexy !

Aussi quand le prof d'histoire posa une question à laquelle j'avais la réponse, je me dépêchai de lever la main en cambrant mon dos, et en veillant à ce que mon crop top remonte le plus haut possible. Le prof m'interrogea et je répondis. Je me retournai ensuite pour voir qui me regardait. J'aperçus plusieurs garçons, mais celui qui m'intéressait le plus: Maxime. Et ce dernier ne me lâchais pas du regard.

Une fois le cours d'histoire fini, j'enchainai avec le cours d'anglais. Je fis en sorte de rentre dans la classe en même temps que Maxime et pris place à côté de lui.

- Je t'ai dis bonjour ce matin ? demandais-je en lui claquant la bise. Je connaissait déjà la réponse, mais j'avais juste envie de coller ma joue contre la sienne.

- Oui, mais une fois de plus n'est pas de trop ! répondit-il en souriant.

Je lui souris aussi et essayai de me concentrer sur le cour. Mais à côté de lui, c'était trop difficile ! J'avais besoin de le toucher. Je posai mon avant bras sur son épaule en me plaignant.

- Je m'ennuie... 

- Heureusement que je suis là alors !

Je lui répondis en lui souriant. Je pris sa main et la posa sur ma cuisse. Il fit des petits ronds avec ses doigts qui me procuraient des frissons partout dans le corps. 

Nous avons passé tout le cours ainsi. Plus le temps passait, plus il remontait ses doigts le long de ma cuisse, et plus je jouissais intérieurement. 

Je rejoignis mes amies pour aller manger Max nous suivit. Dans la file, il s'amusait à me donne des coups de hanches, ce qui faisait que je me retrouvai écrasée contre le mur, ses fesses sur mes hanches a chaque fois qu'il le décidait. Mais j'aimais cette proximité entre nous. 

À table, nous parlions de la nourriture de la cantine qui empirait chaque jour. En même temps, je frottais mon pieds le long de la jambe de Max qui se trouvait en face de moi. 

Nous nous partîmes en direction du foyer. Nous nous asseyons autour d'une table, moi sur les genoux de Max.  C'est lui qui me l'avait demandé. Il referma ses bras autour de mon ventre et posa sa tête sur mon épaule. Il me lacha quelques minutes plus tard, et je fis en sorte de bouger légèrement mes fesses contre son sexe, de sorte à l'éxiter. Je rejetai la tête en arrière faisant remonter mon crop top. Je sentis ses main parcourir mon ventre et je lui collai un bisou sur la joue. 

- Bon, je vous laisse moi, j'ai rendez vous avec mon copain.

C'était Anna. Elle nous fit un clin d'oeil à notre table avant de s'en aller. Sa chaise, se trouvant à côté de celle de Max et moi, se libéra donc. Je m'en emparai. 

- Tu restes pas sur mes genoux ? se plaint Max.

- Eh non mon choux !

Je glissai ma main sur sa cuisse, la remontait lentement, jusqu'à atteindre son sexe. Je le carressai du bout des doigts mais le jean était trop épais à mon goût. J'entendais que Max respirait fort. J'ouvris discrètement sa brailette, y entrai deux doigts et massai rapidement sa partie intime. Je le sentis se durcir, ce qui me fit sourire. Il se retenait de ne pas gémir, ça se voyait. Mais on étit dans un endroit public tout de même !

- Pauline, je peux te parler en privé ?

- Bien sûr !

Il me prit la main et nous sortîmes à l'exterieur. 

- Je te paye un café.

- Avec plaisir ! répondis-je avec un large sourire.

Je savais très bien ce qu'il avait derrière la tête, les toilettes du lycée n'étant pas mixtes, nous serions plus tranquiles dans ceux du café du coin.

Nous fîmes la queue pour avoir nos boissons, puis nous nous installâmes à une table. Il avait l'air de vraiment vouloir la boire, mais moi je m'impatientait. Je lui fis du pied jusqu'à ce qu'il termine. 

Il se leva et m'emmena dans les toilettes. Il referma la porte d'un d'entre eux à clé derrière nous et me plaqua contre le mur. il m'embrassa fouguesement. Sa langue demanda l'accès à la mienne, que je lui laissai évidemment. Mes mains se baladaient sous son T-shirt, puis je décidai de lui enlever. Il m'enleva également mon haut. Je sentais son torse nu se presser contre ma poitrine. 

Ce moment, je l'avais attendu toute la matinée. 

Il baissa mon mon pantalon, et je lui retirai le sien aussi. Nous étions tout les deux en sous-vêtements, dans cette étroit cabinet de toilette. 

Il s'arrêta de me caresser partout pour me regarder.

- J'aime tes sous-vêtements, finit-il par dire. 

Ma soutien-gorge et ma culotte était un ensemble en dentelle noir transparent. Les soutien-gorge noircissait légèrement le bout de mes tétons, tandis que ma culotte laissait aisément apparaître toute mon intimité.

- Peut-être, mais il faudra bien que tu les retires à un jour ou l'autre, je lui chuchotai dans l'oreille d'une voix sensuelle.

- Je ne me gênerais pas pour ça, dit-il avec un sourire pervers. 

Il dégrapha brutalement mon soutien-gorge, fit glisser ses deux mains dans ma culotte et me malaxa les fesses. Je ne pus empêcher un petit gémissement. Il me mordait le cou et me faisait plein de petit suçon partout. Je lui enlevai son caleçon et commença à tripoter son pénis bien dur.

Il prit mes deux seins en main et les tripotait dans tous les sens. Il léchait, mordait mes tétons, faisait tout pour me rendre folle. Et moi, je n'arrêtais pas de crier.

- T'aimes ça ma cochonne !

- Ah oui, gémis-ge, ne t'arrête jamais !

Comme par hasard,il lâcha aussitôt mes seins. Je lui pardonnai puisqu'il baissa ma petite culotte et commença à jouer avec mon clitoris. Il me porta pour s'asseoir sur les toilettes, moi sur lui, avec mes jambes autour de lui. Il rentra un doigt, puis deux dans mon sexe, puis sans prévenir me pénétra violemment.

J'hurlais de plaisir. Son nom sortait de ma bouche toutes les dix secondes, et le mien de la sienne. 

Nous rejoignîmes les cours une heure plus tard.