24 Hours.

Chapitre 1

À mon réveil, j'ai très mal à la tête. Je ne me rappelle plus rien de la soirée d'hier, juste que Zayn m'a obligé à y aller, et que j'ai bu. Énormement bu.

Zayn, c'est mon meilleur ami. On se connaît depuis l'âge de la tétine, et on ne s'est jamais séparés depuis. Il est comme un frère pour moi, même plus. Je ne suis pas amoureux de lui, mais.. je ne sais pas. Je le considère un peu plus que mon frère. Il a toujours été la pour moi, quoiqu'il arrive, je le trouvais ici, lui et ses blagues de merde, pour me remonter le moral. C'est une personne en or, et je ne voudrais le perdre pour rien au monde.

Il y a aussi un bras qui m'écrase. Je le repousse sans délicatesse puis retourne le visage pour voir qui est-ce.

Louis. Louis Tomlinson.

Je sursaute légèrement puis me frotte les yeux pour être sûr de ne pas me tromper. Non non, c'est bien lui. Mais comment ça se fait qu'on soit dans le même lit ? On ne se parles quasiment jamais, alors de là a être dans le même lit ...

Louis c'est le mec le plus populaire de mon Lycée. Ainsi que le capitaine d'équipe de Football de l'école. Il est respecté par tout le monde, élèves et professeurs. Son père, étant le fondateur premier du Lycée, il n'avait jamais droit à aucune remarque. Quoiqu'il faisait, c'est toujours les autres les fautifs. Un jour, j'avait renversé sur lui mon plateau, et je l'ai bien regretté depuis. Je pense que sans la très bonne réputation de mon père, je ne serait même plus au Lycée. À voir combien d'influence il a sur tout le monde. À partir de ce jour, je l'évite.

Je ne comprends plus rien. Pourquoi on est dans la même maison, la même chambre et encore pire, le même lit ?! Il me faut une explication à tout ça.

Je le pousse un peu et il grogne. Puis ouvre les yeux.

Whaou.

Ses yeux sont magnifiques, un bleu d'océan, la liberté.

Sauf qu'avec ses yeux charmeurs, il me fixe encore. Je me dépêche de parler.

- Heum.. Qu'est ce qu'on fait ici ?

- On dort ?

- Non enfin, je veux dire, seuls, dans le même lit, et rien qu'en.. qu'en boxers.

- On dort ? Insiste t-il d'une voix ferme.

Je sais que l'on dort, gros bêta. Mais pourquoi ensembles ?

Je ne me perds pas dans ses conneries et me lève immédiatemment du lit.

Il faut que je sorte d'ici.