Le kidnapping qui a changer ma vie. TOME II 🤲🏼

28.

Avant de vous ne commenciez à lire, je tenais à vous dire que j'ai eu beaucoup d'inspirations pour ce chapitre que je ai a-do-ré écrire ! Surtout le rapprochement de Sarah et Sam.
Je suis actuellement en Espagne et bien évidemment, l'inspiration mes venu de la. ♥️
Trêve de blaguerie, je vous laisse continuer en toute tranquillité. 😘

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Je clignais plusieurs fois des yeux ne sachant pas quoi dire, ni quoi faire. Mon cerveau refusais automatiquement de fonctionner, et de ce mettre en marche pour qu'il puisse donner des signaux à mon corps pour lui être soumis.

Mon meilleur ami me lance un regard interrogateur et mise à part racler ma gorge qui étais devenu tout d'un coup toute sèche, je n'arrivais pas à faire autre chose.

Moi : Bi..Bien sur, pourquoi tu me pose cette question ?
Sam : Quand est ce que tu vas arrêter de me mentir, Sarah ?
Moi : Comment sa je te mens ? Sam s'il te plais arrête de me poser ce genre de question parce que sérieusement sa me...gêne.
Sam : Tu le sais aussi bien que moi que tu est entrain de nier ce qu'il y'a entre nous.

J'avale la salive qui c'était remplie dans ma bouche, les battements de mon cœur s'intensifier dans mon intérieur à tels points que j'eu peur que mon cœur puisse battre à une rapidité pareil.

Moi : Sam..

Soudain, il se rapproche vers moi et pose ces mains sur mes joues, effaçant les quelques mini mètres qui nous séparer.

Sam : S'il te plais..arrête de le nier.

Je pose nerveusement et maladroitement mes mains contre les siennes pour éviter qu'il ne me touche mais au lieux de sa, j'entremêle nos doigts ensemble, en fermant les yeux.

Moi : Sam..

Je ne sais même pas s'il m'a entendu, car ce n'étais qu'un chuchotement et rien d'autre.

J'ouvre lentement les yeux, et aperçois que nos deux fronts sont collés l'un à l'autre, nos deux mains collés contre ma joue.

Sam : Tu veut encore le nier ?

Je refuser, sa ne voulais pas, mentalement ainsi que intérieurement je refusais de dire à voix haute que oui, je tenais à Sam.
Beaucoup trop même, mais je ne voulais pas me l'avouer, c'est le meilleur ami de Naïm et même si on n'est plus ensemble , j'aurais l'impression de le trahir si je tentais un truc avec Sam.

Moi : On ne peut pas faire sa.
Sam : Je te demande juste que tu le nie plus, et que tu me dise la vérité.

Les lèvres pincés je me décale de quelques centimètres et à ce moment là, les pleurs de Younes se remplissais dans la petite pièce du salon, je me levai du canapé et entre dans la chambre pour le serrer dans mes bras, remarquant que j'avais pendant ce temps là, bloquer ma respiration.

J'attrapais le biberon avec une main tremblante, terrifiée en même temps que mon cœur étais entrain de faire la fête dans ma cage thoracique.

Je me massais les tempes et pendant que j'ajoute trois cuillères le lait en poudre dans l'eau qui étais dans le biberon, je m'étais autorisée à pleurer à chaudes larmes, donnant le feux vert à mon corp de lâcher prise.

Je suffoquais, et reprendre ma respiration étais peine perdu.

Les pleurs de mon fils se fit de nouveau entendre jusqu'à mes oreilles et je m'étais subitement arrêter de pleurer, en séchant brusquement mes larmes.