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J'men fou de leurs célébrités, je préfère la simplicité, j'garde la même mentalité, pas d'problèmes d'identité. - 💴 SEUM

[***]

Ilan : Tu t'fou de moi, pas vrai ?!

Je savais bien qu'il essayais du mieux qu'il pouvais de ne pas trop se mettre en rogne contre moi, mais il n'y arriver pas tant que sa, finalement.
Il soufflais en détournant le regard vers la baies-vitré de la chambre d'hôpital, jouant nerveusement avec l'index et le pouce, je cherchais quoi dire.

Moi : Non.. je t'expliquerais tout en détails quand tu sortira d'ici mais pour l'instant je..
Ilan : Non ! Je ne veux rien savoir ! C'est Naïm qui t'a fourré dans cette merde, hein ? Autrement je n'vois pas d'autre issus.

Je maltraitais fortement et longuement ma lèvre inférieur avec mes dents, pour combler mon mécontentement.
Je posais délicatement ma paume sur sa mains gelé mais il l'enleva de justesse.

Ilan : Je veux savoir ! Dis moi tout.

Croisant les bras sur son torse nu, il attendais une réponse de ma part, mais je ne franchi pas.

Moi : Je te promet de tout te dire quand tu sortira Ilan, pour l'instant je ne peut pas.
Ilan : Pourquoi ?
Moi : Je ne pence pas que t'es en état d'entendre ce que j'ai à te dire.

[***]

Naïm : Bordel de m*rde !
Moi : Si je veux qu'il me parle alors je devrais lui dire la part des choses.
Naïm : Mon c*l ouais ! Pourquoi tu ne lui a pas parlé de mes fesses ?!

Je roule des yeux avant de mieux me positionner dans le siège, en regardant les voitures défiler.

Moi : Il s'en fou de tes fesses, et je peut le comprendre.

Je peut l'entendre dire des insultes dans sa barbe, en manquant de klaxonner aux autres conducteurs.

Après quelques tentatives pour qu'il ne me fasse plus la tête mais sans efforts, je soufflais en fermant les yeux pour dormir jusqu'à la maison, qui n'est que de dix minutes en voiture.

[***]

Naïm : J'ai pas envi de te parler, Sarah.
Moi : Pourquoi tu péte un plomb comme ça ? J'ai rien de dis de mal.
Naïm : J'vais jouer à la play, d'accord ? Me casse pas la tête.

Je mord fortement ma lèvre inférieure avant de rouler les yeux et de m'approcher de lui, en posant doucement ma tête contre son épaule.

Moi : Hbibi ?
Naïm : Mmh ?
Moi : J'voulais pas t'énerver.

Je l'entendais soupirer fortement en voyant légèrement son buste se lever et descendre.

Il posais sa main dans mes cheveux, calant ma tête contre son bras.

Naïm : C'pas grave, c'est moi qui dépasse les bornes.
Moi : Je veux le venger, Naïm.

Le kidnapping qui a changer ma vie. TOME II 🤲🏼Où les histoires vivent. Découvrez maintenant