Le kidnapping qui a changer ma vie. TOME II 🤲🏼

12.

J'suis pas un mec bien 🤬 j'suis trop difficile, j'ai briser des cœurs 💔, j'ai fais des victimes. 👭👭- Naps 💋

Affalé de tout mon poids sur la chaise de la salle à manger en tournant sur moi même, je me suis mise à penser au futur de mon bébé, comment lui dire par la suite que sa maman a étais capable d'engager quelqu'un uniquement pour venger son frère ? Moi qui voulais le mieux pour lui..je me fais honte..
Pourtant je ne pourrais plus faire marche arrière, ce qui est fait et fait, et la haine, la colère émane toujours en moi, rien qu'en me remémorant la scène où j'ai vu l'ambulance en bas de chez mes parents, la peur dans les yeux de ma famille, et j'ai subitement compris que c'était un règlement de compte, et je me suis jurer que je lui ferais pire, pire que cette maudite personne a fais à mon frère.

Naïm : Hbibi ça va ?

Sursautant je le regardais, posant une main contre ma poitrine.

Moi : Euh..oui, pourquoi ?
Naïm : Tu t'acharnes sur cette pauvre pomme.

Ne comprenant pas où il voulais en venir je regarde la table, je tenais une pomme entre mes mains, ou j'avais planter mes ongles dans le milieu du fruit.
Entendant le rire de mon mari, j'enlève mes doigt et les essuies sur mon pantalon.

Moi : Naïm, tu..tu peut me faire un câlin ?

Il arrêta de rire et s'approcha vers moi en ouvrant c'est bras, je m'autorise à pleurer et à le serrer autant fort que possible contre moi, posant ma tête sur son épaule.

Il caressa d'une mains mon dos, en montant vers mes cheveux.

Il dépose quelques bisous sur le creux de mon crâne et mon front, il se détache lentement de moi, en attrapant mon visage entre ces mains.

Naïm : Dis moi ce qui ne vas pas, hbiba.

Je séche brusquement mes larmes avec la manche de mon pull, en me dégageant de son emprise.

Moi : Rien c'est, c'est la grossesses je crois, je pleure tout le temps pour rien.
Naïm : Tu me prend pour un c*n ?

Je ne peut pas lui dire..pas maintenant..

Mon pauvre dos serais sûrement contre le carrelage froid de la cuisine, les coups atterrissent sur mon corps, si je lui aurais dit.

Je secoue la tête pour enlever cette pensée de ma tête, en me raclant la gorge.

Naïm : Sarah, tu ma entendu?
Moi : Oui.

Adossant mon dos contre le plan de travail, je croise mes bras contre ma poitrine en soufflant.

Naïm : Je suis désolé..
Moi : Désoler ?

Il posais ses mains sur mes hanches, en s'approchant d'avantage.

Naïm : T'es ma femme, je dois tout te dire.

J'avale difficilement ma salive en entourant mes bras autour de son cou.

Moi : Me dire quoi Naïm ?
Naïm : J'ai parler a ton frère, et il m'a renseigné sur la personne qui lui a tirer dessus.