tout lâcher // Lomepal 🍋

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Un épisode sur la chanson tout lâcher.
🍋 caractère sexuel

Sur le canapé, le dos en vraque, l'odeur du sang séché sur mon visage me donne la nausée.

Je me lève doucement pour ne pas tomber a cause des vertiges qui viennent frappé mon crâne douloureux.

Mohamed, mon meilleur pote est allongé sur le tapis, le nez en sang.
Je ne sais même plus pourquoi on s'est battu, encore une histoire de meuf, certainement.

Je prend mon portable qui est posé sur la table, où tous les cadavres de bouteilles de bière son également disposés.

9h43 putain, je suis en retard.

Je me dirige, néanmoins sans précipitation dans ma chambre, j'enfile un jean et
un tee-shirt.
J'enfile une casquette pour camoufler mes cheveux gras.

J'arrive au bureau à 10h27.

J'entre directement dans le bureau de mon boss et je lui raconte une excuse bidon, je lui présente mes excuses, exagérées comme d'habitude.

- Vous êtes virez Monsieur Valentinelli.

Merde, merde, est-ce que je viens vraiment de perdre mon job là ...?

Moh' va me défoncé, je vais plus pouvoir payer la coloc.

Je sors lassivement de mon ex-travail et je déambule dans les rues de la Capital.

Je m'allume un joint et je tire quelques taffes.

J'arrive à la gare et j'attend mon métro tout en continuant de fumé.

J'observe les gens pressés et stressés qui courent pour ne pas louper leurs trains ou alors qui gueule au téléphone.

Je la vois, elle.

Elle porte une robe blanche, fluide, qui lui arrive aux genoux mais qui remonte à chaque pas qu'elle effectue.
Elle court, sans doute pour rattraper son train qui est déjà en route. Puis elle s'arrête essoufflée, quand elle se rend compte que son train est parti.

Je la détaille, ses cheveux attachés en un chignon désordonné qui lui donne un charme certain, son corps si bien moulé dans cette robe nacrée, son visage tendu.

Elle se tourne en ma direction et ses yeux s'encrent dans les miens.
Ses beaux yeux bleus.

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Je suis sur son lit, son corps complètement dénudé au-dessus du mien.
Ses cheveux détachés, se collant à son front du à la sueur.
Ses joues rougies et son corps tremblant du à l'orgasme.
Mes mains sur ses fines hanches, j'essaie de contenir ma jouissance qui risque d'arriver très prochainement.

- Lâche tout, Antoine !

Á peine sa phrase finie, je me vide en elle, un grognement roque sort de mes lèvres abîmé et rougies, du aux baisés sauvages qu'on a échangé.

Elle s'allonge sur moi, en essayant de reprendre son souffle irrégulier, je caresse sa douce peau nue, elle frisonne.

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J'entre dans la vielle maison de ma famille.
Je ferme la porte, prend ma génitrice dans mes bras en lui embrassant le haut du crâne.

Je n'ai pas retrouvé de boulot et le rap ne m'aide pas à vivre, Mohamed menace de me virer de l'appart si je ne retrouve pas de boulot prochainement.

Ma mère voit bien que je suis tendu alors elle me sert dans ses bras.

On boit un café autour de la table de la cuisine avant qu'elle ne parle du sujet qui fâche.

- Antoine, quand est ce que tu vas me
présentée la femme de ta vie ?
Quand est ce que tu vas me faire des petits enfants ?

- Mama, j'ai encore le temps.

- Tu sais ça te ferais du bien de te pose enfin avec quelqu'un.
Et puis je ne me fais plus toute jeune, j'aimerais voir mes petits enfants avant de mourir.

J'acquiesse sans grande conviction, rien que le fait de penser qu'elle pourrait parti me fou les jetons.

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Aujourd'hui c'est à moi de faire les courses, je deteste ça.
Les gens, le bruit... Je n'ai qu'une envie c'est de rentré chez moi. Mohamed ma passer de l'argent puisque je n'ai toujours pas de travail fixe.

Après plus de deux heures dans le supermarché, je rentre chez moi pour rangé les courses et me rouler un joint.
Je sors de l'appart avec mon skate et mon pet'.

Je fini mon joint en deux minutes et je me sens toujours aussi seul, les effets de la drogue ne soignent pas pas ma solitude.

Je reçois un appel de Émilie, la femme de la gare, on se revoit de temps en temps pour passé du bon temps.
Elle m'invite a passé chez elle, je prend la route jusqu'à l'immeuble.

A peine entré dans son appart', qu'elle se jète sur moi pour m'embrasser, mes mains parcourt son corps de déesse.

Elle me jète sur son canapé et elle se met à genou devant moi, elle me regarde dans les yeux avec son sourire innocent et elle descent ma braguette de pantalon.
Elle me retire également mon caleçon et prend directement mon membre dans sa bouche pulpeuse.
Elle effectue de long vas et viens à la perfection tout en continuant de me regarder droit dans les yeux.
J'oublie tous mes problèmes et je fini par éjaculer dans sa bouche alors qu'elle avale tout ...

831 mots

One shot rapOù les histoires vivent. Découvrez maintenant