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« tes lèvres d'absinthe rencontrent les effluves dorées de la lune au gré du vent. »

« j'ai aimé, j'ai fait jurer au soleil de ne plus éteindre les étoiles, j'ai joué avec les astres à m'en brûler la peau mais la pluie a éteint les peines qui s'enfuyaient des cœurs.
octave, ta mélodie destructrice attends au pied de la symphonies robotique des âmes qui pleurent l'amour »

« attends que le bitume hurle la pudeur des saignements, attends que l'asphalte rencontre les peaux écorchées. je crois que les bouteilles atteindront les méandres de l'éternité quand l'inondation de tes pupilles aura absorbé nos larmes »

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