Cher journal,
Ça y est, je suis allongée sur mon lit, dans ma NOUVELLE chambre !Au lever du soleil, mes yeux étaient déjà ouverts depuis bien longtemps... Je pensais ; m'imaginais ma maison, mon école, mes amis, les rues de cette ville qui m'ait inconnue. Quelques minutes plus tard, mon père est entré pour me réveiller. Je voyais bien que, lui non-plus il n'avait pas du beaucoup dormir... Une heure après nous nous étions tous regroupés, avachis sur le canapé, sans aucuns bruits, en contemplant les murs vident et pals de notre salon. A vrai dire, toutes les pièces étaient dans cet état : à la fois vides mais à la fois complètement pleine, sans même pouvoir y faire un pas tellement il y avait de cartons disposés au sol.
J'étais en train de finaliser notre départ quand le camion de déménagement s'est arrêté devant chez nous. Mes pères ont parlé avec l'homme chargés du transport pendant que d'autres membres de l'équipe ont commencé à faire des aller-retours les bras chargés de cartons ou de meubles.
Quand ils eurent fini, j'ai pris mon sac, regardé une dernière fois ma maison tant chérie et je suis monté dans la voiture. Personne ne parlait durant les premières minutes de voyage jusqu'à ce qu'a la radio passe le titre préféré de mes parents. Ils ont commencé se trémoussés sur leurs sièges. C'est à ce moment que, malgré moi, sur mon visage pour le moment fermé, c'est dessiner un large sourire ! Nous avons augmenté le volume et dansé jusqu'à la fin du tube. Toute notre voiture devait faire des mouvements allant de droite à gauche parce que, tous les passagers des voitures qui nous doublaient nous regardaient d'un air louche...La suite de notre trajet c'est passé à merveille : musique, jeux, discutions ; la joie était au rendez-vous ! Je vais t'épargné les détails de notre long périple mais, je ne me suis jamais tant amusée dans la voiture.
Il était aux alentours de seize heures quand nous avons passez le panneau nous indiquant que notre trajet touchait à sa fin. Plus personne ne parlait dans la voiture ; nos yeux étaient rivés sur les rues, les bâtiments, ect et tout d'un coup la voiture c'est arrêté et mon père s'est écrié : « C'est celle-là ! » en pointant du doigt une petite rue.
Je suis si heureuse car elle est belle notre nouvelle maison. Je m'y sens bien et en sécurité. C'est mon nouveau chez moi quoi ! Je vais laisser les mauvais souvenir du passé à Godivelle et me forger une nouvelle vie ici.
Ce soir nous sommes tous rapidement allé nous coucher tellement nous étions fatigués. Je te reparle très bientôt !
PS : les murs de ma chambre ne sont pas roses ! OUF !!!
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2 papas rien que pour moi
Teen FictionPour faire hommage à cette différence qui est devenue une force...