arrestation

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Pdv Izuku :

Je suis seul dans une petite ruelle sombre. Ma touffe de cheveux camouflée par une capuche et un couteau à la main. Je m'approche de ce fils de pute et lui plante mon couteau directement dans le coeur. Avant que du sang coule coule coule sans s'arrêter. Cette couleur rouge le rend super beau ! Malheureusement il eut le temps de crier, c'est bon dans ce coin paumé on a pas du l'entendre. J'en profite pour prendre ses bijoux, cartes et son argent mais je n'eut même pas le temps de finir qu'une voix retenti derrière moi.

"Mains en l'air et retourne toi ! N'ose même pas me planter ton couteau de merde je suis armé."

Je me retourne doucement. Hé merde j'me suis fait prendre Tss ! Un autre policier ou deux ? Je sais pas bref x policiers se placent derrière moi et me tabassent. "M-mais je me suis .... rendu"

"Si on ne peut plus s'amuser"

Je voulu me défendre en sortant mon couteau sauf que je me suis pris une balle dans l'épaule.

"Non seulement t'es un tueur mais en plus t'as voulu attaquer un policier ! Tu vas pas ressortir de si peu"

Fils de pute ! Il profite de ses droits de merde pour me tabasser !? Il verra quand je m'évaderai !

"Dis moi toi, il me semble que t'as une bande. On va discuter un peu toi et moi pour connaître un peu mieux tes coéquipiers mais d'abord en voiture"

-Skip du chemin-
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Une fois arrivé dans la prison, ce connard me jette dans une pièce assez... dangereuse possèdant de nombreuses machines de torture. On m'attache sur une chaise et l'enfoiré de policier revient.

"Alors, raconte moi un peu plus sur tes amis"

"Tu peux toujours rêver"

"Ok c'est ton choix" et il prit une seringue et me la planta dans le cou avant de déverser un liquide à l'intérieur de moi.

"Ya quoi dedans ?"

"Un truc merveilleux tu vas vite comprendre !" Il enlève la seringue puis prend un petit couteau et fais une légère entaille.

"Haaa putain arrête connard !"

"Ce fameux liquide decuple ta douleur ressenti pour te faire souffrir plus donc tu veux parler ?"

"Jamais de la vie"

"Comme tu voudras" cette fois, il mit un objet en métal dans les flammes avant de le poser sur mon torse. "Mais tu dois avoir chaud laisse moi te déshabiller !" Il enleva mon pull et mon pantalon me laissant en caleçon. "Mais dis moi t'as un fameux torse ! On va te laisser comme ça pour aujourd'hui on te mettra demain l'uniforme"
"Passez moi ce putain d'uniforme je reste pas comme ça"

"Tu parles ?"
"Non."
"Bonne chance alors ! On va t'amener dans ta cellule ! Embarquez-le."
Deux hommes sortirent de nul part, me prirent par les bras et commencèrent à m'emmener.

"Je sais marcher seul putain !"

Une fois arrivé dans ma cellule que je partage avec un fils de pute de violeur qui a du faire souffrir pas mal de gens. Je sens que je vais lui refaire sa sale gueule ! On me replanta une seringue au même endroit. Cette fois, je me sentais comme à moitié endormi.
"Fais lui ce que tu veux Hiroto !"

"Salut toi t'es mignon et t'as un sacré corps !"

Je tente malgré tout de ramper jusque la sortie mais la cellule était déjà fermé. Je veux pas... JE VEUX PAS QU'IL ME TOUCHE BORDEL ! Il n'était malheureusement pas du même avis et s'approcha de moi et commença à me suçotter le cou. Je tentais de me débattre malgré moi mais ne parvint à rien..
Il continue..  je ne veux pas revivre ça non... S'il-te-plait arrête... je n'arrive même plus à parler. Stop... S'il-te-plait non ! Ça fait mal laisse moi.. arrête de gemir sur moi Stop !

Un jour que je suis ici, je veux partir ! Je DÉTESTE cet endroit ! Je vais me venger de cette enflure qui mérite la mort.

Durant la nuit :

Je m'approche doucement de lui avant de l'étrangler. Mais c'est qu'il essaye de se débattre en plus !? J'enfonce mes griffes dans sa peau de la même manière qu'il a enfoncé son... dans moi c'est à dire de manière violente en forçant bien. J'attends ses derniers souffles puis je le lâche avant qu'il meurt. Faut bien que je m'amuse un peu ! Je met ma main sur son paquet avant d'enfoncer mes ongles le plus fort possible dedans et d'arracher le tout d'un coup sec. Une marre de sang décore désormais le sol. Je retourne le connard lui baisse pantalon et caleçon et enfonce sa propre chose au plus profond de lui je fais quelque va et viens puis la laisse dedans après cela je l'achève. Faut pas me chercher !

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Le lendemain matin à 10h

J'entends des cris et des "ho mon dieu" je pense qu'ils ont reçu mon cadeau. Puis je me fais giffler. "SALE FOU" Dit-il je décide d'ouvrir les yeux pour voir la fameuse personne et je ne suis pas déçu ! Le connard qui m'a amené ici.

"Alors gros lard tu aimes ma surprise ?"lui dis-je avec un sourire fier.

"Emmenez-le en psychatrie dans une cellule isolée ! Habillez-le et mettez-lui le meilleur psychiatre"

amour dangereux Où les histoires vivent. Découvrez maintenant