Partie 41

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PRÉCÉDEMMENT

On était dans la chambre avec Kaïssam.

Lui: WAllah j'vais cablé. Ils sont entrain de me rendre fou, j'te jure que si je chope Ismaïl *rire nerveux* jvais faire un truc de ouf.

Moi: On ira porter plainte et ça ira mieux.

Lui: Ça ira pas mieux, c'est d'la merde la justice ici. La police t'écoute que si tu parles de drogue, qu'est ce qu'ils vont faire d'un truc de meuf ? On devra les menacer pour qu'ils prennent en compte l'acte de Yassine.

Moi: Bébé, si ils veulent pas prendre en compte notre plainte et bah j'irai moi même devant le procureur pour déposer la plainte. Reposes toi chérie, on s'occupera de ça demain.

J'ai jamais autant positivé dans une telle situation.

Avant j'avais pas connaissance qu'on pouvait monté jusqu'au procureur, mais maintenant je suis prête à tout pour que ma fille ne se sente pas en danger à cause d'un ptit con.

Il s'est mis à l'aise et on s'est tout les deux endormis.














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Dans la peau de Zaïra








Je sais pas quelle heure il était mais tout ce que je sais c'est que Zahir est entré dans ma chambre.

Il a commencé à me bombarder de questions.
Lui son problème c'est qu'il est au courant de tout mais en retard et j'avais vraiment pas envie d'aborder le sujet d'hier et encore moins dès le matin.

Alors je lui ai gentiment fait comprendre que je voulais pas parler.

Ensuite c'est ma mère qui est entrée.

Ma mère: Ça va ? T'as réussi à dormir ?

Moi: Oui ça va un peu mieux. J'ai encore mal au dos mais ça va, les points de souture ne me dérange pas.

Elle: Essayes de te laver, et habilles toi comme tu peux. On va allé au comissariat.

Moi: D'accord.

Elle: Si t'as besoin de me parler, n'hésite pas ma chérie.

Moi: Oui maman.


Je suis allé dans ma salle de bain et j'ai essayé de me laver du mieux que je pouvais.

J'ai jamais autant souffert en me lavant, rien que sentir l'eau sur ma plaie ça me fait mal.

Quand j'ai fini de tout faire, j'ai fait un vieux chignon et j'ai enfilé ma djellaba bleu.

J'avais pas la force et l'envie de mettre quoique ce soit.

Enfin bref, j'ai mis des claquettes et je suis descendu.

Y'avait Masri et Kaïssa qui sont venu vers moi et ils m'ont fait un câlin.

Zaïra & Zahir : Le combat Où les histoires vivent. Découvrez maintenant