Zaïra & Zahir : Le combat

Partie 59

PRÉCÉDEMMENT

Dans la peau de Zaïra

Je suis actuellement dans ma chambre entrain de réviser.
J'ai rien d'autre à faire et oui faut bien que je révise pour réussir mes études.

De toute façon il me reste encore une année pour obtenir mon BTS.

Enfin bref, ces problèmes vont commencés à me fatiguer.
J'suis pas venu au monde pour qu'un homme sorte de nul part et veuille me tuer.

Heureusement que j'ai des parents qui sont là pour moi et que j'ai un bon copain, même si il fait n'importe quoi, il sait faire la part des choses.

Je sens que ce Ismaïl et son père Yassine vont nous suivre pendant un long moment et j'ai ce mauvais pressentiment que la bombe est déclenché et qu'elle risque d'éclater au moment où on s'y attend le moins.

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Dans la peau d'Elysia

Je sentais qu'il allait se passer quelque chose mais je pensais pas qu'il allait se passer tout ça aussi rapidement.

Il devait être 7h, on était samedi matin donc tout le monde était à la maison.

Mais soudainement, ça toque super fort à la porte et la personne sonnait en même temps.

Kaïssam ne dormait pas et il a à peine fermer l'œil de la nuit, mais moi c'est tout se bruit qui m'a réveillé et qui va sûrement réveiller les enfants.

Kaïssam: Bouges pas j'vais ouvrir.

Moi: Bébé n'y va pas, j'le sens pas.

Je sentais qu'un mauvais truc était entrain de se passer et avec toutes ces menaces qu'on reçoit j'ai peur que ce soit vraiment une menaces qu'Ismaïl est entrain d'appliquer.

Lui: Si j'y vais pas, ils vont niker ma porte. Ils vont réveiller les enfants si ça continue.

Il a enfilé un t-shirt au hasard et moi j'ai mis un peignoir en soie.

Je le retiens avant qu'il ouvre la porte de la chambre.

Moi: Je t'aime Kaïssam.

Lui: Je t'aime aussi Elysia.

Il dépose ses lèvres sur les miennes et il m'embrasse 10 petites secondes.

J'avais un mauvais pressentiment et je me trompe rarement sur mes pressentiments.

On arrive devant la porte et je regarde à travers le petit trou de la porte pour voir qui se trouvait derrière celle ci.

Moi: C'est des policiers.

Kaïssam: Ouvres.