Pas corrigé ou même bien lu. J'ai juste mis mes idées qui ne sont probablement même pas accordées. Alors lis à ton dépend.
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PDV Lexa :
Des mois s'étaient écoulés et entre Clarke et moi, les choses étaient...disons intenses. J'avais prévu de déménager la semaine prochaine dans le penthouse que Albert m'avait offerte. Anya et moi allons y vivre après sa sortie prévu dans neuf jours. Et j'ai commencé à travailler pour Albert il y a de cela seulement un mois. Tout se passait bien dans ma vie, même avec Daciana.
J'avoue que quand Clarke m'a parlé de passer un week-end ensemble à paris, j'imaginais que ce serait romantique mais je me suis complètement trompée. Clarke était au bar, attendant le barman de finir sa commande.
Assise à une table VIP, un verre de whisky devant moi. J'avais les yeux braqué sur Clarke et son queue de cheval qui balançant de gauche à droite. Elle portait une chemise bleu ciel entré dans son jeans haute-taille noir qui complimentait ses longues jambes musclées et pour finir avec les chaussures les plus sexy que j'ai jamais vu. Oui, ces bottines Christian Louboutin me laissaient sans voix, littéralement. Et Clarke semblait au courant par ce que de temps à temps elle me lançait ce sourire narcissique.
Avec ces accoutrements, elle avait l'air d'une alien au milieu de tous ces gens suants aux hormones déréglée à cause de l'alcool. Si je ne la connaissais pas, j'aurais pensé qu'elle était là pour affaires mais avec une garde robe comme la sienne c'est dur de s'habiller plus décontractée. Clarke est un être à part, un être spécial, même sans faire exprès elle donne le sentiment de se sentir inférieure avec cette aura de pouvoir presque visible autour d'elle, et écrit sur son front 'Je suis quelqu'un d'important'
"Elle est superbe hein ?" Je me tourne vers Finn. Oui, voyez pourquoi je disais que c'était loin de ce super weekend que Clarke m'avait promis.
"Hummm ?"
"Clarke. Elle est tellement parfaite que ça me fond encore plus le cœur" Finn rit sans humour en finissant son verre. Je crois qu'il est un peu sou.
"De quoi tu parles ?"
"Du fait que je suis sensé être l'homme le plus heureux du monde avec comme épouse une femme comme Clarke. Et sans mentir je suis heureux par ce que peu importe ce qu'elle fait le jour, la nuit c'est dans mes bras qu'elle s'endort. Mais je ne suis pas l'homme le plus heureux par ce que je sais qu'il est impossible de complétement dompter un cœur aussi rebelle que la sienne. J'ai beau essayé, les murs autour sont trop grands et trop épais" Il me tape sur l'épaule avant de partir vers sa femme.
Assise à côté de Clarke qui rigoler avec Finn et son ami, cela ne faisait pas du tout parti du super week-end idéal pour lequel j'ai renoncé d'aller voir Alex Morgan en Home Round. Je n'ai pas pu sortir de ma tête les paroles de Finn depuis le début de la soirée.
Je fini d'un coup sec mon verre avant de partir au toilette. Revenant, je vois Finn lui murmurer à l'oreille et Clarke toute souriante hochant la tête après que son con de mari lui ait embrassé. Je ne prends pas la peine de repartir vers eux vu qu'ils n'ont même pas remarqué mon absence.
Rentrée dans notre chambre d'hôtel je me demande si ce serait une bonne idée de rester ici, elle va sûrement rentrée avec son mari. Mais je sais que je n'ai pas assez dans mon compte bancaire pour prendre une chambre ici même pour une seule nuit. Je passe une bonne partie de la soirée à discuter avec Daciana qui, complètement par hasard, se trouvait elle aussi en Espagne. Presque endormie je sens quelqu'un se glisser dans le lit.
"Lexa ?" Murmure Clarke. "Tu dors ?" Je fais semblant de dormir par ce que je n'ai aucune envie de parler, surtout pas avec elle. Je sais que je n'en ai pas le droit mais je me sens utilisé et trahie. Et la jalousie qu'envahissait m'aidait aucunement. C'est son mari après tout.
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Gravity is a bitch
Fiksi Penggemar"Lexa..." J'ai failli ne pas reconnaître ma propre voix qui avait augmentée de quelques octaves devenant ainsi rauque et sensuelle. "Shhhh" Soupire-t-elle. "S'il te plaît Clarke ne bouge pas. Laisse-moi juste savourer ce petit instant, tu n'as pas...