trois

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l'été avait
des paupières
closes sur
le monde
pour
oublier
l'amertume
qui s'écoulait
des fleurs

noa
rayonnait
dans jupes
des jeunes
filles frivoles
pour
se noyer
dans les
baisers
du soleil
qui se meurt

elle
découpait
juillet
dans son
ivresse
abîmée
qui assassine
les pétales
calcinés

comme
une
illusion
qui fond
sous
la pluie
de braises
infinies

noa
mange
les bas

fonds
du soleil
dans ses
plaintes
encore
meurtries

étincelle poussiéreuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant