l'été avait
des paupières
closes sur
le monde
pour
oublier
l'amertume
qui s'écoulait
des fleursnoa
rayonnait
dans jupes
des jeunes
filles frivoles
pour
se noyer
dans les
baisers
du soleil
qui se meurtelle
découpait
juillet
dans son
ivresse
abîmée
qui assassine
les pétales
calcinéscomme
une
illusion
qui fond
sous
la pluie
de braises
infiniesnoa
mange
les basfonds
du soleil
dans ses
plaintes
encore
meurtries
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étincelle poussiéreuse
Poesíanoa mange les bas fonds du soleil dans ses plaintes encore meurtries