cinq

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l'été avait
des nuages
sur l'horizon
qui perçaient
lentement
la frénésie
incessante
de l'aube
qui s'étend
sur l'amer
immobile

noa
perdait
ses nuits
au détour
de ses
entrailles
calcinées
par les
rayons
meurtris

elle mourait
dans les
perles
d'or
qui tombent
gracieusement
dans les
limbes
de l'automne

comme
un ange
qui danse
sur les diables
aux couleurs
tiraillées

noa
et son
amour en
trance
ont aperçu
l'éternité

étincelle poussiéreuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant