l'été avait
des nuages
sur l'horizon
qui perçaient
lentement
la frénésie
incessante
de l'aube
qui s'étend
sur l'amer
immobilenoa
perdait
ses nuits
au détour
de ses
entrailles
calcinées
par les
rayons
meurtriselle mourait
dans les
perles
d'or
qui tombent
gracieusement
dans les
limbes
de l'automnecomme
un ange
qui danse
sur les diables
aux couleurs
tirailléesnoa
et son
amour en
trance
ont aperçu
l'éternité
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étincelle poussiéreuse
Poesíanoa mange les bas fonds du soleil dans ses plaintes encore meurtries