Larme écarlate (EN RÉÉCRITURE)

Hosto de bargo

Coucou, voilà le chapitre 3 enfin corrigé
Bonne lecture 😘
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T'ouvres lentement les yeux et tu vois que tu es installée sur le dos, dans un lit blanc, comme dans un hôpital.

[t:p] *Si ça se trouve je suis vraiment dans un hôpital... je me souviens plus de ce qu'il s'est passé pour que je sois comme ça alors peut-être que quelqu'un m'as trouvée et m'as amenée ici *

En regardant autour de toi, tu vois qu'il y a un trou dans l'une des fenêtres alors tu essaye de te lever mais c'est impossible de ne faire ne serais-ce qu'un seul mouvement.

[t:p] : *je suis pourtant pas accrochée, qu'est-ce qui a bien pu me mettre dans cet état ?*

En entendant le bruit d'une poignée de porte tu commences alors à paniquer, et sans réfléchir tu monte ta couverture jusqu'à ton nez et ferme les yeux. Quelqu'un entre par la porte faisant claquer celle-ci derrière lui ce qui t'as fait avoir un léger sursaut. La personne qui est entré à ses yeux fixés sur toi à present. Tu sens son lourd regard sur toi. Tu ne sais pas du tout comment réagir, doit tu continuer à faire celle endormie en priant pour qu'il s'en aille ou dois-tu tenter de t'enfuir ? Complètement perdue, et n'ayant pas me temps de réfléchir, tu reste comme tu es en gardant bien les yeux fermés.

? : j'avais raison t'es une sacrée belle prise toi, et dire que je viens de te sauver la vie... tu serais morte de faim, ou assassinée dans cette ville de sauvage, mais grace à MOI tu es sauvée et on va pouvoir vivre ensembles toutes les deux. POUR TOUJOURS.

Tout en gardant les yeux fermés tu es très concentrée pour ne surtout pas paniquer d'avantage. Tu reconnais là la voix de la folle qui t'as agressée et ce qu'elle dit te glace le sang. En te remémorant ton agression, tu sentis une pression sur ton bras gauche, comme si on te l'ouvrait, tu sens le sang séché sur ta plaie qui recouvre toute ta partie supérieure de ton bras, commençant sous ton épaule et s'arrêtant jusqu'à la moitié ton avant bras. Tu te rends également compte que tout le matelas sur ton côté gauche est alors taché de sang, le sang est frai puisque tu sens encore l'humidité de celui-ci.

La femme s'assoie à côté de toi, te croyant endormie elle soulève la couverture pour pouvoir voir ta cicatrice. Ton agresseur pose une main sur ta blessure et commence à presser dessus. Tu te contiens le plus possible l'envie de hurler et de pleurer de douleur au contacte de la main de cette étrangère sur sa blessure. Ta mâchoire se crispe sous la pression de tes dents qui se serrent de plus en plus au fure et à mesure que sa main reste en contact de ta cicatrice.

Femme: je suis désolée, j'aurais du faire de toi mon cobaye mais dorénavant tu seras mon nouveau jouet !

Elle décides enfin de se lever et de se diriger vers la porte de la chambre. Elle jette un dernier coup d'œil en arrière pour t'admirer encore une fois, puis, elle pars en claquant la porte derrière elle comme d'habitude. Après son départ tu peut alors réouvrir les yeux, tu essaye de te lever mais sans succès ton corp était complètement paralysé. Tu cherches donc un autre moyen de sortir d'ici.

Après quelques minutes a se creuser la tête pour pouvoir sortir de cet endroit tu entends à nouveau la porte s'ouvrir. Alors par réflexe tu te recache à nouveau sous ta couverture pensant que c'est à nouveau cette psychopathe qui revenais.

Pov Gon:

Je rentre dans une chambre comme Kaito me l'as demandé et je vois une fille qui semble endormie.

Gon: *ou alors... elle se cache et fais semblant de dormir*

Je m'approche donc de la fille qui doit avoir à peu près mon âge et je mis ma main sur son fron.

Gon: Hé, tu n'as pas à avoir peur je suis la avec mon maître, on est venus chercher la femme qui fais ces choses attroces, qui que tu sois, je suis désolé de pas être venu t'aider avant.

Je la regarde, ses yeux sont clos mais après mes paroles ils commencent doucement à s'ouvrir, elle semble apeurée. Je soulève alors la couverture pour vérifier son état. ... du sang.. elle a perdu du sang, trop même, c'est pour ça qu'elle ne peut plus marcher. Elle à aussi une grande cicatrice sur son bras gauche, c'est vraiment pas beau à voir, les point de soutures sont mal fait, la plaie est pas désinfectée et il y a pleins de sans séché dessus. C'est vraiment pas bon il faut que je l'emmène à l'hôpital, je tente alors de la rassurer comme je peut pour qu'elle me passe confiance.

Gon: Tout vas bien, on va te sortir d'ici d'accord ? Elle me regarde et je vois une lueur d'espoir dans son regard pleins d'inquiétudes, elle se méfie, et c'est normal. Dans son état elle parvient tout de même à prononcer quelques mots, mais sa voix est pleine de fatigue.

[t:p] : Q.. qui es... t-tu ?

Gon: Je m'appelle Gon freecss, j'ai 12 ans et mon maître se nomme Kaito, nous sommes tout deux, des Hunters.

[t:p] : H-hunter ?

J'hoche la tête Et je m'approche doucement,
J'enroule ses jambes autour de mes hanches et ses bras viennent se poser sur mes épaules, je la porte comme sac à dos. Et je sors de cette pièce pour rejoindre Kaito.

Pov Extérieur

Vous être maintenant tout les quatres dans le couloir, oui tout les quatres, car ton agresseuse a remarqué l'arrivée du maître et son disciple.

Femme : vous... kidnappez mon jouet.. COMMENT OSEZ-VOUS?!

Elle utilise sa voie pour crier de toutes ses forces et bondir jusqu'à Kaito, celui-ci réussi à esquiver son coup de justesse mais cette psychopathe n'avais pas dit son dernier mot, et dans sa rage et sa folie elle continue d'attaquer l'homme. Un combat terrible commença.

Kaito de son côté à obtenu le mauvais numéro, encore une fois, alors il s'efforce de bloquer les attaques de son adversaire. Pendant qu'il parrait les coups, il regarde en arrière et crie à Gon de s'enfuir, de nous mettre en lieu sûr. Le garçon hésite un moment mais en entendant tes gémissements de douleurs il se décide à partir. Il te cache derrière un muret loin du danger et te met en position assise de façon à ce que tu sois confortablement installée, puis, repars pour aider son maître. Pendant ce temps Kaito a vu qu'il ne pourrait pas la battre avec sa faux, alors il décide de l'utiliser pour briser les murs du bâtiment, en quelques seconde les murs s'effondrent et le plafond tombe. Kaito et son adversaire se sont fait écraser sous les débris de la bâtisse maintenant en ruines.

Gon, quant à lui, il a assisté à la scène et heureusement, il n'a pas eu le temps de retourner dans le bâtiment. Le garçon au cheveux vert se met sur ses genoux, tremblant, et il sent des larmes lui monter au yeux. De ton côté tu as bien sûr entendu le bruit de cet espèce d'hôpital d'effondrer. Bien que tu ne peut pas te lever pour aller voir par toi-même, tu as compris ce qu'il se passe, ce n'était pas compliqué à deviner en entendant les sanglots de celui qui t'as sauvée la vie. Un profond sentiment de culpabilité t'enveloppe. Si tu n'avais pas été là, aussi faible, tu n'aurais pas eu besoin d'être sauvée et Kaito n'aurais pas perdu la vie... Gon ne serait pas triste. Tout ça c'est TA faute. Du moins c'est ce que tu t'acharnes à te dire. Tu ne pu retenir l'une de tes larmes couler, tu l'essuie et en regardant ta main avec laquelle tu as essuyé ta larme, elle est maintenant rouge et à clairement une trace, comme si c'était une goutte qu'on avait étirer mais n'a aucunes blessures n'est présente sur ta main alors, d'où vient le sang ? Tu pose trois de tes doigts de la seconde main sur ta joue, là ou la larme à coulé, en la retirant et en la regardant, tu te rends alors compte que ce sang, provient de tes yeux, de tes larmes.
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Je sors ce chapitre pendant le mois du Ramadan alors bon ramadan à celles et ceux qui le font !
À la prochaine.