Quand je suis rentrée au collège, en 6e, j'étais toute timide, je devenais toute rouge quand une personne me parlais, tout le monde se moquai de moi j'en avais tellement marre de vivre qu’un jour j'ai même voulut me suicider. Jusqu'au jour où j'ai failli me faire renversée par un bus, c'est là que j'ai vraiment compris à quel point je tenais à la vie.
Le lendemain, quand je suis arrivé au collège, des personnes que je ne côtoyais pas sont venu me parler. Pourquoi? Je ne savais pas.
Un jour, alors que j’étais à mon casier, le mec le plus populaire du collège est venu me voir. Il m’a demandé de le suivre, j’ai hésité mais je l’ai tout de même suivit. Il m’emmenât dans un coin où personne ne pouvait nous voir. Il m’a regardé dans les yeux et m’a souri. En deux secondes j’étais rendue dans ses bras, je me sentais comme protégée. Je le regarda et lui demanda pourquoi avait-il fait ça. C’est à ce moment qu’il s’assit en face de moi m’invitant à m’asseoir aussi. Puis il m’expliqua sa longue histoire :
« J’étais en 5e, un soir, alors que ma sœur et moi attendions ma mère à notre arrêt de bus comme chaque soir. Un groupe de garçons plus âgés que nous passèrent derrière nous, ils se mirent à siffler ma sœur comme une vulgaire prostitué. Quand un bus passât devant nous, l’un d’entre eux poussât ma sœur sous les roues du bus. Un craquement d’os se fit entendre, c’était ma sœur. Elle s’était fait broyer les os à cause de ce mec…
Alors quand je t’ai vu la dernière fois à deux doigts de te faire écraser par ce bus, tu m’as fait penser à ma sœur… Je me suis tout de suite dit qu’il te faudrait du réconfort et qu’il fallait t’aider. C’est pour ç que je suis venu te voir tout à l’heure. »
Son histoire était tellement horrible. Je pouvais voir tellement de tristesse et de colère dans ses yeux que je le pris dans mes bras. Il s’effondrât en larme, et me demanda de ne parler à personne de cette histoire. Chose que je lui promis.
Quelques mois plus tard, nous étions meilleurs amis et j’étais devenue une des filles les plus populaires de collège malgré que je ne sois qu’en 6e.
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SonstigesJe ne sais pas si j'aurais un jour le courage d'écrire une chronique mais je voudrait publier quelque un de mes textes. Alors voilà je ne m'attend pas à un succès fou mais j'aimerais avoir quand même quelques avis.
