COMMENT EN SOMMES-NOUS ARRIVÉS À LÀ ?- Te fous pas de ma gueule Jordy, crie t-elle
Elle tente une fois de me poignarder.
- stop toi putain !
Mon téléphone s'allume et un message de Marie apparaît :
Je rentre plus tôt aujourd'hui, c'est mon jour de repos
Elle sort de chez moi en furie tout en saisissant son couteau. J'ai essayé de la stopper mais j'ai peur de perdre ma vie.
J'enfile les premiers habits que je vois et cours vers la fenêtre, je crie à Marie de fuire, elle me fait une tête d'incompréhension puis réagit lorsqu'elle voit Marie-Jeanne avec un couteau. Marie prend ses jambes à son cou tandis que Marie-Jeanne l'a poursuit.
Lorsque je m'apprête à descendre, je reçois un appel de Soraya qui me dit qu'elle m'attend en bas de chez moi.
Punaise...
Je descends et cours vers Marie-Jeanne pour l'a stoppée, je l'attrape par le dos.
- lâche moi Jordy !, crie Marie-Jeanne
Je lui arrache le couteau des mains et Marie revient vers nous. Toute cette excitation à attirer la foule qui nous encerclent désormais. Le téléphone en main le monde autour de nous observent chacun de nos mouvements.
Marie revient vers nous.
- C'est qui cette folle Jordy ?, me demande-t-elle
- Je suis sa petite amie salope, répond Marie-Jeanne
Je ne sais pas quoi répondre à cet instant là.
- Non, Marie est ma petit amie
- Marie laquelle ?, dit Marie-Jeanne
- à ton avis, dis-je
- Mais c'est moi t'as petite amie, tu te fous de moi !, rétorque Marie-Jeanne
- Non, c'est mon fiancé !
Oh non, il manquait plus qu'elle.
Soraya sort de nulle part et s'approche de nous. Marie est perdue face à toutes ses révélations.
- Qu'est-ce qu'elle raconte cette grosse pute !, crie Marie-Jeanne
- Attends qui tu traites de pute, regarde comment t'es habillée pétasse !, rétorque Soraya
- Regarde qui est la pétasse maintenant !, hurle Marie-Jeanne
Marie-Jeanne m'arrache le couteau des mains et poignarde Soraya, du sang jaillit de son corps. Marie saute sur Soraya pour essayer de stopper l'hémorragie et moi aussi. Des gens se mettent à appeler les secours.
- Regarde ce que t'as fais vieille folle !, lui dis-je
Avec ses mains tremblantes, elle enfonce son couteau sur mon dos, je m'écroule à ce moment là. Les seuls souvenirs qui me restent sont les larmes de Marie et le visage souriant de Marie-Jeanne.
FIN
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𝕯𝖔𝖚𝖇𝖑𝖊 𝖛𝖎𝖊
Short Story- «J'ai grandi maintenant, je pense que je suis libre de faire mes propres choix mais pourquoi rien ne se passe comme je le veux.»