Mermoz

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J'essaie de comprendre ses personnes qui ont perdus des êtres chers, des parents.
J'essaie de me mettre à leur place et de ressentir cette douleur qui les fait pleurer dès qu'ils ont des souvenir de cette personne.
J'essaie de comprendre ses personnes qui ont perdus leur père, de me mettre à leur place et de comprendre ce qu'ils ressentent.
Au final, je me demande qu'est ce qui fait le plus mal ?
Perdre un être cher, perdre son père.... ou n'avoir jamais connu son père.

J'ai vécu toute ma vie avec ma mère. Comme bon nombre de personnes, je suis de ceux dont les pères ont « fuis » après l'accouchement.
Je suis du groupe des enfants « bâtards ».
J'aurai préféré porter le nom de ma mère, et s'il y avait moyen de changer de nom je l'aurai fais.

Vous voyez le joli garçon là ? C'est moi. Et la magnifique femme qui me porte c'est ma mère.

Pour la petite histoire, l'échographie avait révélé que j'étais une fille( je sais pas comment ils se sont arrangés), donc la majorité de mes habits étaient des habits de femme( ne faites donc pas attention à mes chaussures)

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Pour la petite histoire, l'échographie avait révélé que j'étais une fille( je sais pas comment ils se sont arrangés), donc la majorité de mes habits étaient des habits de femme( ne faites donc pas attention à mes chaussures).
Étant petit je me comportais comme une femme aussi ( je veux dire je pleurais tout le temps quoi)

 Étant petit je me comportais comme une femme aussi ( je veux dire je pleurais tout le temps quoi)

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Bref revenons au sujet.
Malgré l'absence du père, j'ai eu une enfance heureuse et paisible. Je n'ai manqué de rien, tellement que étant plus petit je n'avais même pas senti un vide, je ne savais pas qu'il y avait quelqu'un qu'on appelle papa qui devait faire partir de ma vie.  C'est un peu plus tard que je l'ai su.

Bâtard. Où les histoires vivent. Découvrez maintenant