die for someone
that matters.
Des vinyles, un pull en laine, des allumettes, un sourire et des souvenirs - AUTOMNE 1977: James, Sirius, Remus et Peter rentrent à Poudlard pour leur dernière année et rien n'est vraiment différent des six pr...
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james .•*:｡✩
"POTTER, BLACK, LUPIN, PETTIGREW! – C'est pas pour faire mon dramatique, mais Minnie te jette un regard plutôt accusateur, James, a observé Sirius sans vraiment avoir l'air de s'en préoccuper. – Elle tire quand même une conclusion très hâtive, a répondu James. Pourquoi dès qu'il se passe quelque chose, c'est toujours forcément nous ? – Parce que c'est littéralement toujours nous, a fait Peter avec une grimace coupable. – Parce que c'était littéralement elle qui nous a donné l'idée du prank l'année dernière ironiquement, et que ça laisse peu de doutes possibles, a ajouté Sirius. – Parce que tous les doutes qu'il restait à avoir ont été anéantis quand tu t'es mis debout sur la table pour crier, je cite, les Maraudeurs vous souhaitent la bienvenue à Poudlard," a commenté Remus avec lassitude.
Et, d'accord, c'était ce qu'il s'était passé, mais il y avait une explication tout à fait rationnelle à cet événement même s'il était très peu rationnel parce que non, c'était pas entièrement de la faute des maraudeurs. (Et de toute façon, James ne regrettait rien. Ça avait probablement été sa meilleure entrée en scène. Ça avait probablement été la meilleure entrée en scène de toute l'histoire de Poudlard. Ça valait absolument la semaine de retenue qu'ils allaient se prendre.)
Bref, Walburga Black, contre toute attente, était la principale personne à blâmer, étant donné que tout avait à peu près commencé après l'Incident. Pendant l'été, Sirius avait débarqué chez les Potters en pleine nuit sans totalement s'expliquer et en ayant l'air vraiment très déprimé et vraiment très triste, et il avait passé une semaine à tout faire depuis avoir l'air vraiment très déprimé à avoir l'air vraiment très triste, sauf expliquer à James ce qu'il s'était passé. Le fait était qu'il ne riait même pas aux blagues de James, et que James a fini par s'inquiéter. Beaucoup pour Sirius, et un peu pour son sens de l'humour (il avait passé des heures misérables, tard le soir, à se demander s'il était cassé et à pleurer des larmes de rage dans son Despair Pillow silencieusement).
Cette phase d'adaptation s'était terminée le mardi suivant, à vingt deux heures trente. Sirius était dramatiquement affalé sur un canapé avec un verre de vin rouge gracieusement glissé entre les doigts. James était assis sur la table basse et était en train de perdre aux échecs contre lui même. Il avait dit :
– Eh, Sirius. Monsieur et Madame Terieur ont un fils. Comment s'appelle-t-il ? – Ils ne s'appellent pas. Ils ont perdu contact depuis dix ans, avait répondu Sirius en gardant les yeux rivés sur le plafond. – Raté, c'était Alex., avait quand même dit James, et c'était sûrement la pire manière possible de rattraper une blague. – Ils m'ont déshérité, avait dit Sirius, et c'était aussi une manière très étrange de répondre à une blague, mais James s'était dit que Sirius avait sûrement des problèmes plus urgents que son terrible sens du timing.
