Hamilton High School est un petit collège, d'une ville perdue, que même une carte ne la reconnaissait pas comme telle. Moi je gardais espoir qu'un jour elle soit celle qu'on acclamerait d'avoir fait quelque chose d'extraordinaire, même si cela dépasserait de l'imaginaire. Enfin, c'est ce que j'aimerai mais ce n'est pas ce que voudrais les autres, ils préfèrent que leur petite merveille reste entre leurs mains. Cependant peu de temps avant la veille de la rentrée des classes, il m'arrivait fréquemment d'entendre parler d'un remède qui pourrais nous permettre de guérir plus rapidement d'une maladie dévastatrice pour les personnes âgées, le CoR19. Cette panacée, créé par un scientifique de notre ville, raviva la flamme qui commençait à s'éteindre en moi. Bien sûr, qu'il y avait des chances pour cela ne soit en fait qu'un mensonge diffusé par cet homme, mais je voulais garder espoir pour avoir un jour raison.
Lundi
Je ne sais plus exactement comment ça a commencé, mais je me souviens que, comme tous les matins de début de semaine, je commençais par Maths. J'avoue ne pas savoir d'où viens ma compréhension envers cette matière, que les trois quart de la classe déteste. De toute façon, on ne faisait que corriger des exercices, ce qui retardait sérieusement le programme. Donc j'attendais, ou alors j'étais interrogé comme d'habitude jusqu'à ce que les aiguilles des minutes et des heures pointent neuf heures et demi. Pourtant la sonnerie ne retentit pas, ils avaient beau se retourner vers moi, pour me demander l'heure étant la seul personne ayant une montre de ma classe, je ne pouvais pas leur dire ce qu'il clochait car, moi même je n'étais pas au courant. Puis enfin après de longues minutes durant lesquelles chacun scrutait au fenêtres, on entendit l'alerte intrusion, ce qui leur passa presque instantanément l'envie de regarder. On commençait par barricader les portes avec les quelques tables, puis on se servi des autres pour nous faire un coin sécurisé, en délaissant les chaises à leurs places.
Cela faisait donc 1 heure où personne ne nous avait appelé, ou demandé de sortir. Le prof décida alors de sortir de la salle, quand on entendit soudain deux cris, où l'on pouvait distinctement reconnaître celui de Mme Amardeil, notre professeure de musique, et un autre qui ressemblait plus à un grognement. Le prof se retint d'ouvrir la porte, pour notre bien à tous, il aurait de toute façon dû enlever ce qui la bloquait. Cela ne nous empêchait pas d'avoir peur. On est donc resté dans ce qui devenais peu à peu notre zone de sécurité. Je réfléchissait comme toutes les personnes étant dans la classe, à ce qui aurait pu se passer. Certains pensaient que c'était une mise en scène, d'autre qu'il y avait réellement des "zombies" dans l'enceinte de l'établissement, moi je penschais plus pour la deuxième réponse. Le professeur malgré son incertitude était parvenu à faire taire la classe. Le silence reignait, il nous autorisa à sortir notre téléphone, au cas où nos parents s'inquièteraient pour nous. Je rejoignis mes amis, Clayde et Charlotte, l'un un ami d'enfance et l'autre une intello attachante.
La première personne qui a allumé son téléphone reçue un message du gouvernement, qui expliqua les faits :
<Citoyens, citoyennes, une menace non identifiée à été aperçu dans les environs de la région Rhône-Alpes, nous essayons actuellement de sécuriser le périmètre pour ce, évitez les déplacements, nous vous tiendrons au courant quand nous en saurons plus. La présidente Donna Nobble.>.Avec ça, plus moyen de calmer la classe, je voyais que tous les élèves regardaient le professeur comme si il avait déjà été dans ce genre de situation, mais lui ne savait que faire. Charlotte, elle, essayait avec ses simples connaissances, d'évaluer la situation, alors que moi et Clayde, n'étions trop appeurés, pour penser à quoi que ce soit.
Il était maintenant midi, cela faisait donc 3h que nous attendions. Je sorti un sachet de biscuit, destiné de base à me servir quatre heure, mais je me ressaisis, et le rangea dans son emplacement car on ne savais pas combien de temps on allait rester ici. Je vis certains manger leurs goûters, me disant qu'ils ne réfléchissaient pas. Toutes les 3 minutes depuis 10h on entendais des grattements, au début, on avait peur que notre protection s'effondre tel des dominos, mais on s'en souciait de moins en moins, jusqu'à les oublier entièrement. Tellement, qu'on en avait oublié les rideaux. Lorsqu'on les mit sur les côtés des vitres, on pouvait voir dans la cour, du haut du premier étage, des masses sombres, trainants des cadavres, où j'ai pu reconnaître rapidement le visage de l'ennemie de Charlotte, Hapeaullynnes, d'ailleurs je n'ai jamais compris pourquoi ses parents avaient déformé son nom. Le pire fut de découvrir avant de m'en aller de la fenêtre, la tête éffaré de la principale, qui me fit comprendre que nous étions livrés à nous même.
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illusions
Science FictionEn l'an 2057, une apocalypse zombie menace la Terre, Rick, un jeune collégien, va devoir apprendre à vivre différemment. Sauvé lui et son groupe grâce à des militaires, ils devront survivre aux menaces présentes et futures.