¢нαριтяє 2

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Je descends doucement de la voiture et aide le vieux homme à enlever mes valises.

Dès que le chauffeur a fini de m'aider à descendre ceux-ci,  il monte dans sa voiture et il part en trombe me laissant seule devant les deux monstrueux établissements. Je soupire.
Je respire une grande bouffée d'aire et commence à marcher vers l'entrée principale tout en traînant mes valises derrière moi.

L'entrée extérieur est magnifique : quelques arbres cachaient le peu de lumière émis par le soleil, au loin je peux voir une remarquable fontaine avec quelque bancs qui l'entoure et certaines fleurs, comme la rose rouge envahissaient l'espace disponible du gazon vert. Je monte les marches avec difficulté et une fois arrivé devant la grande porte principale, je demeure ainsi à fixé celle-ci, hésitant entre l'envie d'entré et de partir. Je fais un pas par en arrière pour m'en aller, cependant je reviens sur ma décision et je reste encore à fixer la porte... J'appuie, enfin,  mon index sur la sonnette et m'éloigne rapidement de celle-ci. J'entends la sonnerie de la sonnette retentir à l'intérieure. Après une minute passée, personne n'est venu m'ouvrir. Je sonne encore. Mais, rien.

Je lâche un grognement d'impatience et j'ose ouvrir moi-même la porte d'entrée. à ma grande surprise, celle-ci est ouverte. Je pénètre l'école avec mes valises, ensuite je ferme la porte derrière moi. Laissant mes effets personnelles devant celle-ci, j'avance doucement pour admirer, de plus près, la splendeur de la pièce. Un grand et élégant escalier qui donne l'impression qu'il est sans fin, affiche l'étage du haut, le plancher brille de mille feu et chaque décoration semble être choisis minutieusement. J'en reste bouche bée. Curieuse, je m'aventure dans les autres pièces de la demeure. 

- Il y a quelqu'un ? dis-je en entrant dans le charmant salon.

Époustouflé par la beauté de la salle, je tourne sur moi-même pour voir chaque détail de la salle de séjour. J'aperçois un vase blanc contenant des roses rouges et je m'en approche doucement. J'hume la bonne odeur qu'elles y dégagent.

- Hum...

Je me tourne vivement vers la voix ou le grognement que j'ai entendu derrière moi. Je m'approche lentement du sofa rouge et je remarque qu'un jeune homme dors sereinement sur le canapé. J'approche doucement ma main de son épaule, puis je lui dis en le secouant légèrement :

- Heu... Excuser moi... 

Il est vraiment beau pensais-je. Ce jeune homme mesure environ un mètre quatre-vingt et il est très svelte. Ses cheveux blonds tombent sur ses paupières clos ainsi sur ses longs cils noirs. Il porte surement l'uniforme de l'école, un costume blanc avec des motifs noir, puisque je peux voir à moitié un symbole brodé sur sa veston blanche. Le premier bouton de sa chemise noir est déboutonner et sa cravate blanche sors légèrement de sa veston. Ses lèvres rosâtres capte mon attention. Je pourrai facilement le comparer à un prince endormi. Cette pensée me fais sourire. J'approche ma main droite vers ses mèches rebelles pour les déplacer sur le côté de son visage, cependant celui-ci prends brusquement ma main toujours les paupières clos. Puis, il les ouvre doucement me laissant voir ses beaux yeux bleu légèrement foncé.

- J-je suis d-désolé... c-c'est que... dis-je en  bégayant.

Il tourne légèrement la tête et un petit sourire se forme dans le coin de ses lèvres. Il se lève tranquillement et me force à me coucher sur le canapé. Je reste surprise par cette action. Il lâche un rire qui me mit mal à l'aise.

- Ah... J'aime ce regard que t'affiche en ce moment. Ce regard surpris. Tu sais... il ne faut jamais me réveiller quand je dors, dit-il d'un air sérieux.

Essayant de me dégager en vain de son emprise sur moi, je remarque que ses mains sont glaciales et puissants. Il approche doucement son visage du mien, le sourire aux lèvres. Je tourne mon visage vers la droite, de peur qu'il m'embrasse. Un petit rire de satisfaction se fais entendre, puis, soudainement, je sens sa langue sur mon cou. Il le lèche doucement. Ce qui me fais lâcher, malgré moi, un petit soupire de plaisir.

- Je constate que tu en veux plus. Alors... laisse mes crocs transpercer cette belle et délicate peau, dit-il en chuchotant.

En entendant ses paroles,  je lui frappe l'entre jambes, de peur qu'il me fasse mal. Il lâche un petit cris de douleur et j'en profite pour m'échapper. 

-  Mais, tu es fou ! dis-je en essuyant la salive sur mon cou.
-  C'est toi qui est folle... Comment oses-tu me frapper ainsi !
-  J'ai le droit de me défendre d'un pervers comme toi !
-  Quoi ? Moi ? Un pervers, crit-il en réduisant la distance qui nous séparai, d'un air furieux.
-  Oui un pervers ! Ne me refait plus jamais cela, abruti.
-  Je ne veux pas, tu sens trop bon pour cela... dit-il sérieusement.
-  Quoi ?

Il me regarde droit dans les yeux avec un sourire étrange. Effrayer par cela, je me tourne rapidement pour m'enfuir, cependant ce jeune homme me retiens en prenant mes bras dans ses mains glaciales et me force à m'approcher sur son torse dur. Je sens sa douce respiration sur mon cou, puis sa langue humide tracer son chemin.


Vamp Lover'sOù les histoires vivent. Découvrez maintenant