une personne téléporté à Stalingrad

chapitre 1

Il se promenait sur le trottoir. Cette personne avait son téléphone avec un chargeur et une batterie solaire.(le hasard étant bien fait). Il aimait l'armée et plus précisément il aimait les armes militaire de la seconde guerre mondiale. Il s'était interressé à l'armée soviétique, malgré le gens qualifiait l'armée soviétique comme une armée qui ne faisait qu'opprimer et qui s'en fichait des morts. Il voulait démontrer que c'est pas entièrement vrai. Certes l'armée soviétique à eu son lot de mort et à opprimer. Mais il n'envoyait pas des hommes à la mort. C'était à cause de ces film hollywoodien. Il regarda un article relatant de la vie de Staline. 

Il vit au bout de la rue, une lumière. Il s'approcha pour voir ce que c'était, il vit une sorte de boule jaune, flottant dans les airs. Il aurait crue que la boule jaune l'appellait. Il s'approcha, mais il ne le toucha pas. Il hésitais si c'était une allutination ou la réalité. Un autre homme dit:" c'est quoi cette boule jaune ?" Il était sur ce n'était pas une illusion. La boule était bien réel. Comme si elle était vivante. La boule tenta de partir et percuta le jeune homme. Il sentit une énorme douleurs et ferma les yeux 1 seconde. Quand il les reouvrit. Il était dans la petite ruelle. Il se disait :" c'était bizarre." Il n'y avait plus l'autre homme. Il se disait qu'il dut fuire en voyant la boule bougé n'importe comment. Il se leva, mais

Il remarqua que les bâtiments n'était pas de belles bâtisse blanches mais des bâtiments de couleur brique dont une partie à était exploser. Il se dit:" où je suis." Il ne comprenais plus rien, il était où, où était la boule jaune. Mais il n'eut pas le temps de réfléchir. Il entendit de l'allemand. Il essaya de trouver une cachette. Il se cacha sous un tas de briques. Il entendit des pas, il fit tout son possible pour ne produire aucun son. Les pas s'éloignèrent, il sortit et se dirigea de l'autre côté. Il entendit des tirs, ça devait être les soldats allemands qu'il a entendu. Il reconnut du Russe, merde ça s'approchai. Il vit un soldat soviétique mort dans une des maisons. Il fonça dans la maison. Priant qu'il n'arrive pas toute de suite. Il se dépêcha de mettre l'uniforme, il cacha le cadavre et prit son arme qui était une DP28. Quatres soldats soviétiques arrivèrent. Il y en avait trois qui avait une ppsh41 et une femme russe avec un mosin-nagant équipé d'une lunette. Malgré qu'il portait l'uniforme, il préféra se cacher. Évitant les soupçons, malheureusement pour lui. Le groupe entra dans la maison. Il le virent et lui dirent des mots en russe. Il ne comprenait rien. Il n'avait pas appris le russe. La femme le regarda avec un air louche et pointa son fusil sur lui. Le coeur du jeune homme batta la chamade. Il trembla, il ne versa aucune larme. La peur s'était emparé de lui. La peur de voir sa vie se terminer. Les autres soldats surpris arrêtèrent la femme. Il ne comprit rien, la femme commença à parler en allemand. Il comprit à moitié, il voulait dire quelque chose mais la peur avait paralysé sa bouche.  Il tenta de prononcer et il arriva à bouger la bouche :" je je je je suis français."  Personne ne comprit ce qu'il disait. Mais l'accent firent comprendre qu'il était plutôt français. La femme cria une phrase puis pointa le fusil sur le jeune homme. Les autres soldats n'ont pas eu le temps de réagir, elle allait tirer quand soudain une bombe explosa. Tout le monde tomba par terre. Il aurai pus s'enfuir mais la peur l'empêche de faire quoique ce soit. Finalement le groupe de 4 se relèvent. Ils virent des soldats allemands approché. Il avait le choix de soit laisse le jeune homme et aller gère ces soldats soit gérer d'abord le jeune homme. Ils décidèrent de laisser leurs confiance au jeune homme et s'occupèrent des soldats ennemies. Il resta assis, il savait que si ils revenaient il le tuerai. Il fuia, il fonça ne se retournant pas. Il vit deux soldats allemands. Pris par la peur, il leur tira dessus avec sa DP28. Il tombèrent mort, agonisant. Le jeune homme était tout tremblant. Il n'avait jamais tué et il vient de retirez la  vie à deux personnes. Il continua à s'enfuir. Il entendit une Maxim m1910 tiré, il se cacha la tête. Il releva la tête. Il vit un groupe allemand arrivé. Il ne savait pas quoi faire. Il décida de tirer. Il mit en position son arme et tira. Le groupe allemand tenta de réagir mais furent tous tué. Pendant plusieurs heures c'était le même processus. Il tenta de fuir et il avait toujours des soldats allemands qui venait vers lui. Finalement les dernières poches allemandes se rendirent. Le jeune n'exprimait plus aucune émotion. Ce qu'il à vue la rendu traumatisée à vie. Il arrive devant une place de la ville. Tout le monde était en train de danser et chanter pour célébrer la fin de la bataille. Le jeune homme s'assit vers un tas de gravas. Tenant sa DP 28, il regardait le sol. Le groupe soviétique qu'il avait vue arriva. Un de ses soldats le reconnu et avertit les autres. Un de ses soldats fonça vers un officier. Le reste s'avança vers le jeune homme. Ils pointerent leurs armes sur lui. L'officier arriva, il arriva devant le jeune homme. Il lui demanda en français ce qui le surpris:" d'après ces soldats tu est un espion enemie." Le jeune homme resta silencieux. L'officier n'était pas impatient, il dit:" alors qu'as tu à répondre." 5 minutes se sont écoulés. Finalement il ouvra sa bouche et declara:" qu'il dise ce qu'il veulent, je ne suis pas un espion. Pensez ce que vous voulez. Mais je vous assure que je ne suis pas un espion." Son ton était froid, l'officier non convaincu pointa son pistolet TT-33 et dit d'un ton très froid:" je répète la question. Est-tu un espion enemie ?" Le jeune homme répondis  du ton le plus froid qu'il pouvait :" non." Un coup de feu se fit entendre. L'officier tira à côté de lui. Il dit :" donc, tu n'est pas un espion enemie. Je t'accorde une chance, j'espère que tu est un de nôtres." Il parla en russe au groupe et partit. Les trois hommes hocherent la tête. La femme resta pas convaincu. L'un des soldats du groupe tendit la main. Le jeune homme ne tendit même pas la main. Il était brisé intérieurement, le soldat pris sa main et le souleva. Il l'ammenet vers un feu et s'assirent tous autour. Puis ils se sont partagés la nourriture. Le jeune homme ne mangea pas, il n'avait pas envie. La femme le regarda d'un air méfiant. Quand elle vit un soldat allemand se faisant traîner. Il comprenait pas ce qu'elle disait mais apparemment elle demandait qu'on l'amène vue qu'il amène le soldat vers eux. Elle se leva et le leva. Elle passa un pistolet et lui fit signe de tirer sur ce prisonnier allemand. Il hésita à tirer, tirer sur cette allemand sans défense. Il pleura et tira sur l'allemand. L'allemand tomba par terre, mort d'une balle dans sa tête. La femme fut convaincu de son dévouement. Elle lui fit lâcher le pistolet. Il s'assit encore plus ravagé qu'avant. Il n'arrivera plus à s'enlever ces images qu'il resterent grave dans sa tête. L'officier avec haut parleurs cria en russe mais apparemment ça devait être un ordre de déplacement car tout le monde s'approcha des camions. Le jeune homme les suiverent surtout qu'on l'entraînait à venir. Le groupe avait le même numéro que lui donc le même régiment. Le seul mot qu'il comprit du discours de l'officier c'était

Koursk