Ce poème date du 28 décembre 2017 et s'adresse aux personnes qui ont contribués ou m'ont rendu malade. Je n'avais toujours pas conscience que j'étais malade mais comparé à avant j'avais compris que ce n'étais pas moi le problème mais eux.elles. J'ai toujours eu et encore aujourd'hui l'impression de devoir lutter entre mon Bien et mon Mal intérieur et c'est le thème de mon poème, du moins la vision que j'en avais à l'époque ; sans oublier que j'étais persuadé.e que j'allais mourir de mes mains. (oui c'est joyeux :') )
Enfant, j'entrais dans l'âge de l'expérience.
Regardez comme vous m'avez brisé.e.
Je suis ce que je serais demain.
Ma haine est de plus en plus forte.
Je vous détruirai de mes mains comme vous l'avez fait avec mon cœur,
Je me nourrirai de votre sang comme vous l'avez fait avec mes larmes,
Je vous déchirerai comme vous l'avez fait avec mes sentiments,
J'enfoncerai mes doigts dans vos plaies que j'aurai moi-même créé comme vous l'avez fait avec vos mots,
Je piétinerai votre corps encore en vie comme vous l'avez fait pour l'enterrer sous terre,
J'arracherai vos cheveux pour vous entendre hurler de douleur comme avec cette lame tranchante sur mes bras,
Je vous emmieterai jusqu'au bout et comtenplerai mon oeuvre : votre anéantissement.
Vous en êtes étonné.e.s !?
Laissez moi vous rire au nez !?
Petite fille candide et naïve devenue grande fille coupable et consciente
Je suis votre résultat.
Coincé.e être le pacifisme et le mal.
Je ne serai pas normal.
Je ne serai jamais MadameMonsieurtoutlemonde.
Je serai le gentil petit agneau et/ou le grand méchant loup
Je détruirai sans une once de remords tout ceux.elles qui m'approcheront de trop près,
Je réparerai les plaies grandes ouvertes de tous ceux.elles qui m'approcheront.
Mais quoi qu'il advienne je serai tué.e par un.e terrible assassin que je remercierai, que j'implorerai que trop tardivement d'être venu.e au secours d'un mal dont je ne connais la cause.
