Aime-moi Si Tu L'oses | Teen Wolf - Derek Hale | En pause..

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00h02, Loft de Derek, Beacon Hills.

- C'est n'importe quoi ! Isaac s'éxclame en se levant, on va quand même pas faire aveuglément confiance à cette.. Fille ?

- Pourquoi pas ? Je demande en haussant un sourcil.

- Elle traine avec Peter, il faut vraiment être dérangé pour le faire. C'est une raison sufisante pour ne pas l'écouter. Il s'obstine.

Je pince les lèvres de mécontentement, comme plus tôt dans la soirée, Peter ésquissa un pas vers le bouclé qui lui recula sur le champ. Je fais barrière à Peter avec ma main et me tourne vers le blond.

- Je comprends que vous doutiez de moi, faut dire que j'suis pas la personne la plus digne de confiance dans les cas comme celui ci.. C'que j'veux dire c'est que, si j'vous tuais, j'en aurais rien à y gagner. Mais vous, si vous décidez de me faire confiance, vous pouvez être sûrs que vous s'rez débarassés de Falcon, en moins de temps qu'il en faut pour le dire.

Après mon petit monologue, le groupe a commencé à débatre, certaines comme Stiles ou encore Scott, sont de mon coté et son pour que je les aides et d'autres comme Isaac -pas très étonnant- et Érica sont contre moi, et ont décidé qu'il ne fallait pas me faire confiance.

De mon coté, je discute simplement avec Peter, histoire de ratraper le temps pérdu. Lui et moi, ont c'est rencontrés à Eichen House, je me souviens encore de la première fois que je l'ai vu. C'était environ quelques mois après l'incident, ma mère avait décidé de m'abondoner pour aller faire je n'sais quoi, je n'sais où avec Jay, son nouveau -et accesoirement quatrième- mari, cette conasse -oui, je parle de ma génitrice- a fait croir que j'étais folle, encore aujourd'hui j'arrive pas à leurs pardonner, ni à elle, ni au psycologue qui n'a rien fait pour m'aider, en ayant accépter le peau de vin que lui avait, gentiment, proposé ma mère.

- C'est pour aujourd'hui ou pour demain ? Peter s'impatiente.

- Je crois que j'vais y aller, je r'viendrai demain, voir s'ils n'ont toujours pas changé d'avis. Aller, bonne nuit Peter !

En éspérant que ce petit coup de préssion les décidera, je n'peux pas les aider s'ils ne le veulent pas. Je pousse la porte qui me sépare de l'éxtérieur, dehors, seuls les faibles rayons de la lune éclairent le chemain, le vent tappe contre mon visage et me rafraichi. Bon, j'ai plus qu'à trouver un logement pour la nuit, plus facile à dire qu'à faire. Faut vraiment que j'passe à Salt Lake pour chercher des affaires, ou du moins, ma carte de crédit.

- T'as nul part où aller ? Une voix grave demande dérière moi.

Je me retourne, tiens, j'étais tellement dans mes pensés que je l'avais pas entendu arriver. Bizarre, si même mon loup commence à me faire défaut, bah, je sais pas ce que ça engendrera, pas grand chose finalement -ça menera sûrement à ma mort, mais voilà, c'est c'que j'disais, pas grand chose finalement-

- J'me débrouille.

Il ne prends pas la peine de me répondre, c'est vraiment pas un bavard, je n'ai que très rarement entendu sa voix de la soirée. J'me demande quel âge il a, j'dirais dans les 25 ans. D'ailleurs faudrai que j'pense à m'réinscrire au lycée.

- T'as dis que t'étais quel genre de créature déja ?

J'avais même pas remarqué qu'il s'était raproché, je commence à croire que mon loup est entrain de me quitter..

- Une lyconthrope, je réponds au bout de quelques secondes, comme toi, j'ajoute sans raison apparente -génial, si j'commence à briefer n'importe qui sur ma nature, j'suis pas prête d'en avoir fini avec les psycopates qui en auraient après mes pouvoirs, je ne suis pas une kitsune mais pour un loup, j'me débrouille bien-

- Ouais.

Il se détourne de moi et s'en va, comme ça, sans prévenir. Ok, il n'est pas du genre à prévenir avant de s'en aller, s'est noté. Quoi ? N'importe quoi ! D'puis quand j'me mets à faire des listes sur c'que fais, ou pas, tel ou tel personne. Tu perds vraiment la boule ma vielle.

J'vais dormir dans la forêt -tel l'animal que je suis- de toutes façons, les hotels sont férmés à c'tte heure là, et j'crois pas que quelqu'un veuille m'ouvrir la porte de chez lui, à part si c'est un fou -comme moi-. J'commences à croire que cette mère indigne qu'est la mienne à raison, je deviens barjot, j'sais pas si c'est la libérté qui me monte au crâne. J'me souviens plus de la dérnière fois où mon cerveau à autant tourné.

Qu'est-ce que j'disais, ah oui, je perds la tête, fin, j'me perds dans ma tête, je sais pas depuis combien de temps que je fixe la porte qu'il a traversé, mais vu le nombre de trucs sur les quels j'ai eu le temps de débatre, ça doit faire déja pas mal de temps. Au fait, il est quelle heure ? Faudrai aussi que j'pense à demander à Peter d'me trouver un mobile, ça fait presque deux ans que j'suis déconéctée.