Possessivité maladive

chapitre 11

Gabriel stressa un peu s'était un grand restaurant et il n'avait aucune référence, mais il espérait vraiment être pris malgré tout. Samir n'avait fait que lui trouver du travail c'était à lui de faire ces preuves maintenant et de ne pas faire honte au plus âgé.

Il monta les quelques marches devant lui et se retrouva en face d'un homme qui avait à peu près l'âge de son père, s'était un homme d'âge mûr, il avait le visage fermer et l'expression neutre Gabriel ne pût s'empêcher de penser que l'expression de son expression faciale concordait parfaitement avec son physique de gros lard. L'homme était court et rondouillard un ventre bedonnant et un cou inexistant ce dernier avait disparu sous les tonnes de chair.

"Tu es Gabriel ?" Avait t'il dit en me fixant longuement, ça voix était enrayer et quelque peu grave il l'attendait apparemment et n'était pas vraiment content d'être là c'était évident cela se lisait parfaitement sur son visage.

"Oui monsieur " répondit il simplement il fesait tout son possible pour paraître poli et ne pas trop parler il ne voulait pas tout gâcher dès le premier jour qui plus ait dès les premières minutes.

"Très bien je suis ton nouveau patron Brad Colins je tenais à te recevoir et à te faire visiter personnellement, si tu veux bien me suivre" se présenta t'il Gabriel ne pût s'empêcher de penser que son prénom ne lui allait pas du tout.

Les 30 minutes qui ont suivi lui ont permis de se changer et de visiter avant d'apprendre les bases et les règles du métier. Il pensait qu'il allait devoir passer un test pour faire ces preuves mais ce n'était apparemment pas nécessaire selon son patron il faisait entièrement confiance à  Samir si ce dernier lui recommandait c'était sûrement pour de bonne raison.

Ce n'est pas facile entre règles de bienséance avec les clients aisé d'ailleurs il n'y avait que ça ici et le rythme rapide services que Gabriel a encore un peu de mal à tenir il ne fallait pas servir trop tôt ni trop tard tout était suivi à la minute près mais jusque là tout allait bien. Il y avait certains gestes et mots qu'il fallait impérativement dire en présence des clients chaque et c'était important de le mémoriser.

Gabriel eu le loisir de faire une bref connaissance de ces collègue mais d'après ce qu'il a vue ils sont plus tôt sympa, il avait beaucoup de mal a s'adapter il avait même cassé une assiette il tremblait beaucoup et c'était assez difficile pour lui de garder le plateau dans ces mains mais ces collègues avec lesquels il s'étaient lié d'amitié le réconfortait ou le faisait rire entre chaque commande.

À la fin de son service Gabriel souffla de bien être ce n'était pas facile de travailler dans un restaurant de luxe néanmoins ce n'était pas non plus impossible il reçu un message plus tôt étrange mais qui lui fit grandement sourire.

Samir
Tu me manque et j'aime pas quand tu me manques ça me met en colère, je vais rapidement y remédier.

Mon chauffeur t'attends en bas pour te ramener chez toi. Passe une bonne nuit.

Samir.

Gabriel sourit après avoir lu ce message mais il se pontifiait énormément de géhenne lui même, des questions sur la qu'ils relation il pouvait entretenir avec Samir mais il n'oserais jamais lui demander de peur de se faire rejeté. Il avait peur de gâcher quelque chose avec ces interrogation il n'aspirait pas non plus à avoir le cœur briser par une réponse qu'il ne voulait pas entendre.

"Le peu d'attention que tu me porte Samir me suffit largement je n'ai pas besoin de plus au risque de tout gâcher entre nous" se disait il plus pour se convaincre lui même qu'autre chose, il savait qu'il espérait un jour avoir plus seulement il préférait attendre que se soit Samir qui face le premier pas il ne souhaitait despotique ment pas le faire fuir.

Gabriel savait que tôt ou tard il aurait besoin de plus que ça il savait aussi que plus ambigu qu'eux il n'y en avait pas. Cependant il ne voulait pas se faire des idées initialement lorsque la réalité le frapperait se serait trop du à accepter.

Il se changa rapidement et rejoint rapidement le chauffeur qui l'attendait, ça le gênait un peu de se faire ramener et déposer comme ça mais il ne voulais pas contredit Samir. Si Samir prenait ce genre d'initiative c'était sûrement à son avantage alors il ne voulait avoir un débat avec lui sur qu'il aimait et ce qu'il n'aimait pas.

Cet homme mystérieux qui lui fesait frissonner à longueur de journée, ce même homme qui pouvait être terrifiant et rassurant, calme et expressif à tout moment, ce même homme qui commence à lui faire ressentir des choses nouvelles et qui lui avait redonné goût à la vie son sourire ne voulait plus quitter son visage.

"Le bonheur c'est quand vos actes sont en accord avec vos paroles"

Ghandi